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Politique - Dans nos archives

Quand les nouveaux ministres prenaient la plume dans L’Orient-Le Jour

Sur quels sujets et pour faire valoir quels points de vue ont écrit, dans nos colonnes, Tarek Mitri, Ghassan Salamé, Amer Bsat, Joe Issa el-Khoury et Adel Nassar ?

Quand les nouveaux ministres prenaient la plume dans L’Orient-Le Jour

Dans le sens des aiguilles d'une montre : les ministres Tarek Mitri, Ghassan Salamé, Adel Nassar, Joe Issa el-Khoury et Amer Bsat. Photos Présidence libanaise

Ils étaient universitaires, diplomates, avocats ou financiers ; certains avaient déjà siégé au gouvernement par le passé, mais c’est souvent en tant que citoyens qu’ils ont choisi d’interpeller l’opinion à travers une tribune dans L’Orient-Le Jour. Afin de mieux comprendre la vision de certains des membres du cabinet Salam, L'Orient-Le Jour vous propose de redécouvrir ces analyses et prises de position formulées au gré de l’actualité.

Tarek Mitri (Vice-présidence du Conseil)

L’universitaire et diplomate, qui a déjà été plusieurs fois ministre, est revenu à plusieurs reprises dans ces colonnes sur des sujets lui tenant particulièrement à cœur - du devenir des printemps arabes au sort des civils syriens ou palestiniens, en passant par la défense du patrimoine au Liban.

Sa tribune un mois après le 7-Octobre 2023

La violence trouve ses racines dans le refus des droits des Palestiniens


Son commentaire à l'occasion des cinq ans du début de la guerre en Syrie, en 2016

Les civils en Syrie et la « responsabilité de protéger »


Son point de vue sur les "rébellions arabes" en 2013

Rébellions arabes et perceptions brouillées


Ghassan Salamé (Culture) :

L’intellectuel et diplomate émérite, qui avait déjà occupé ce poste au sein du gouvernement de Rafic Hariri, est un observateur inlassable des temps présents, dont il analyse, dans des tribunes ou à travers de grands entretiens à L’OLJ, les tendances et trajectoires, du « dérèglement de la force » à l’échelle mondiale aux défis inhérents à une «souveraineté disloquée» à l’échelle locale.

Sa tribune dans "L'Orient des Idées", en mai 2024

« Et le Liban ? »

Grand entretien, en octobre 2024

Ghassan Salamé : Au Liban, l’appétit israélien peut venir en mangeant


Grand entretien, à l'occasion des 20 ans de la guerre d'Irak en 2023

Ghassan Salamé : L’invasion de l’Irak par les États-Unis a eu un effet d’émulation sur le reste du monde

Amer Bsat (Économie)

Responsable des marchés émergents au fonds BlackRock, l’ancien économiste principal au Fonds Monétaire International (FMI) est intervenu régulièrement dans le débat public - seul ou à travers des collectifs - aux débuts de la crise financière libanaise, pour en exposer les ressorts, dénoncer l’inaction et préconiser une voie de sortie alternative.

En 2021, près de deux ans après le début de la crise libanaise, sa tribune

Stabiliser d’urgence l’économie libanaise


En 2020, son point de vue sur l'inaction des responsables face à l'effondrement

Le coût tragique de l’inaction


Son commentaire sur les négociations avec le FMI, en 2020

L’aide du FMI : un processus long et difficile

Joe Issa el-Khoury (Industrie) :

L’homme d’affaires qui a occupé des postes à responsabilité dans plusieurs banques d'investissement est connu pour ses prises de positions favorables au fédéralisme, qu’il promeut notamment à travers l’association « Ittihadiyoun » et ces deux textes personnels, envoyés à la rédaction.

Son courrier sur le concept de citoyenneté au Liban, en avril 2024

La citoyenneté et l’impossibilité de son application au Liban


Son texte sur le fédéralisme, datant de juillet 2021

Pour préserver l’unité du Liban...
Fédéralisons son système politique

Adel Nassar (Justice)

Proche du député et chef des Kataëb Samy Gemayel, l’avocat spécialisé dans l’arbitrage et le droit des affaires, a parfois pris la plume pour commenter l’actualité politique et dénoncer notamment l’emprise du Hezbollah sur les institutions.

Son point de vue, moins d'un mois après le 8 octobre 2023

Le Liban ou les armes


Son commentaire sur un soutien de la France à une candidature de Frangié à la présidentielle, en mai 2023

Ne tirez pas sur le pianiste !



Ils étaient universitaires, diplomates, avocats ou financiers ; certains avaient déjà siégé au gouvernement par le passé, mais c’est souvent en tant que citoyens qu’ils ont choisi d’interpeller l’opinion à travers une tribune dans L’Orient-Le Jour. Afin de mieux comprendre la vision de certains des membres du cabinet Salam, L'Orient-Le Jour vous propose de redécouvrir ces...
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