
Illustration Jaimee Haddad
"L’achta", un glacier-pâtissier parisien qui met à l’honneur notre ashta locale. Photo DR
« L’achta », un glacier-pâtissier à la libanaise au cœur de Paris
Vous êtes à Paris ? Vous avez envie d’une bonne glace libanaise ? Joséphine Hobeika a une nouvelle adresse pour vous.
Captures d’écran prises par le journaliste indépendant Séamus Malekafzali et postées sur son compte X, montrant des publicités vues sur l'application Tinder le 22 août 2024. Photo @Seamus_Malek
Quand une pub liée à l’armée américaine apparaît sur Tinder au Liban
Le 22 août, lorsqu’il se connecte sur l’appli de rencontres par géolocalisation Tinder, un journaliste américain vivant à Beyrouth tombe sur une publicité qui semble provenir de l’armée de son propre pays. Seamus Malekafzali voit s’afficher un message qui l’avertit de « ne pas prendre les armes contre les États-Unis et leurs partenaires ». Wael Taleb vous raconte cette histoire.
Vue de nuit sur Zaitunay Bay, prise le 27 juillet 2024. Photo Stéphanie Béchara
Cafés, bars, restos : l’état des lieux du secteur, à Beyrouth, en 2024
Malgré les crises, malgré la guerre à Gaza et son extension au Liban-Sud, il semble que le secteur de la restauration, à Beyrouth, soit en croissance. Qu’en est-il réellement ? Et tous les quartiers de la capitale sont-ils logés à la même enseigne ? On vous dit tout.
Mankoushe, un peu du Liban à Melbourne. Photo Élisabeth Choucair
Jad Choucair quitte sa « Mankoushe » australienne pour le Liban
« J’ai acheté mon billet. Je rentre le 18 septembre, sauf si vraiment le ciel nous tombe sous la tête ! » C’est avec un accent bien australien et un grand bonheur dans la voix que Jad Choucair, du haut de ses 36 ans et de son attachement à la famille et au pays, s’exprime. Carla Henoud a rencontré ce Libanais qui quitte sa « Mankoushe » australienne pour… rentrer au Liban.
Joy Majdalani. Photo JF Paga/ Grasset
Joy Majdalani : Les femmes sont-elles génétiquement condamnées à la jalousie ?
« À chaque fois qu’elle se préparait pour leurs rendez-vous, choisissant la longueur de la robe qu’elle mettrait, décidant s’il faudrait porter des bottines à talons, du rouge à lèvres, un string en dentelle ou emporter une brosse à dents dans son sac à main, elle pensait à Petit Cœur. » Le second roman de Joy Majdalani, « Jessica seule dans une chambre » sort ce mardi 28 août aux éditions Grasset. Joséphine Hobeika a rencontré la romancière qui traite les stéréotypes féminins avec une légèreté surprenante et trompeuse.
Karla Sofía Gascón lors du photocall pour « Emilia Perez » au 77e festival de Cannes. Photo AFP
Karla Sofía Gascón, prix d’interprétation à Cannes : Être trans, c’est accepter une vie de combats
Narco déboussolée sur grand écran, justicière engagée à la ville, l’actrice espagnole Karla Sofía Gascón a été la première femme transgenre récompensée au Festival de Cannes en mai dernier. À l’occasion de la sortie d’« Emilia Perez » dans les salles françaises, Karl Richa a rencontré la nouvelle muse de Jacques Audiard.
Ghassan Tuéni fait visiter l’imprimerie de la Coopérative des journalistes à un ministre sénégalais. Archives an-Nahar
« L’Orient-Le Jour », le sens caché des lettres de plomb
Quel rapport entre votre journal préféré, « L’Orient-Le Jour » évidemment, et le hard-rock ? Découvrez la réponse avec Fifi Abou Dib qui vous invite dans les coulisses de notre siècle d’évolution graphique.
Détail de l'œuvre « The loudest muttering is over » (2024/2024) de Walid Raad. Avec l'aimable autorisation de l'artiste et de la galerie Sfeir-Semler Beyrouth/Hambourg
En 1983, Brooke Shields visitait le USS New Jersey au large des côtes libanaises, selon Walid Raad
Festival d’(in)gratitude (avec des œuvres récentes et nouvelles) de Walid Raad occupe les deux espaces de la galerie Sfeir-Semler, celui de la Quarantaine et le nouveau local ouvert il y a à peine un an dans le quartier du Port. Dans ces deux lieux, les employées de la galerie qui se portent généralement volontaires pour nous guider à travers les expositions, commencent par poliment nous prévenir que, cette fois-ci, l’artiste a donné des strictes instructions de ne pas expliquer, ou sous-titrer les œuvres exposées. Laissez-vous guider par Gilles Khoury.
Charbel Rouhana et son sextet sur la scène du théâtre Caracalla. Photo Houssam Shbaro
Ces « Cordes de Baalbeck » qui lient tous ceux que la musique unit
Un concert unique mais à la forte charge symbolique a réuni sous la bannière du prestigieux festival de Baalbeck, qui se tenait, actualité oblige, au théâtre Caracalla à Horch Tabet, le sextet libanais de Charbel Rouhana et le trio (palestinien) Joubran. Découvrez le compte-rendu de Nanette Ziade Ritter.