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Lifestyle - Le Weekender

Du vin et des banques libanaises, la dernière des pharaons et un « furn » belge : voici notre Weekender

On vous explique aussi toute l’affaire Wajdi Mouawad ; on revient sur la décoration de Vénus Khoury-Ghata élevée au rang de grand officier dans l’ordre national du Mérite français ; et on se demande : mais comment les banques libanaises pourraient-elles bien regagner la confiance des Libanais ?

Du vin et des banques libanaises, la dernière des pharaons et un « furn » belge : voici notre Weekender

Photo d'illustration / Jaimee Haddad

Dans Le Weekender, L’Orient-Le Jour vous propose une sélection d’articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d’une actualité vraiment sombre en ce moment ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.

Émile Issa el-Khoury (à g.) et Faouzi Issa, les copropriétaires du Domaine des Tourelles, le 26 mars 2024, dans une cave du domaine à Chtaura dans la Békaa. Photo Matthieu Karam

La « renaissance » du Domaine des Tourelles, le plus vieux vignoble du Liban

Ce vignoble a tout connu : la fin de l’Empire ottoman, le mandat français, deux guerres mondiales et d’interminables conflits libanais. Durant la guerre civile notamment, le domaine sera maintenu en vie malgré l’occupation syrienne, dont l’armée n’hésitait parfois pas à se servir dans les caves sans régler l’addition... Matthieu Karam vous emmène au Domaine des Tourelles, pour vous raconter cette belle success story libanaise.

Yousra à la cérémonie d’ouverture du Festival du film de Beyrouth, le 14 avril 2024. Photo Mohammad Yassine/L’OLJ

« La guerre ? Quelle guerre ? » : ces Libanais qui rêvent de paillettes et de Yousra

Pour quelques heures, la « dernière des pharaons » a posé le pied au Liban à l’occasion de la 7e édition du Festival des femmes de cinéma de Beyrouth. Figure consensuelle pour certains, artiste provocatrice pour d’autres, Yousra représente ce que l’Égypte officielle souhaite promouvoir dans les arts. Karl Richa a rencontré l’actrice égyptienne pour un moment comme suspendu dans le temps, alors que la région basculait.

Et puis nous vous recommandons chaudement l’interview de notre ancienne collègue, Julie Kebbi, qui vient de produire son premier documentaire dont le thème est le suivant : à travers l’objectif de sa fille, une femme réfléchit à son exil du Liban et à la mort en parcourant le journal de sa défunte mère.

Graffitis et affiches placardées à l’entrée du siège de l’Association des banques du Liban, à Beyrouth. Photo F.G.

Comment les banques pourraient-elles regagner la confiance des Libanais ?

Quatre ans et demi après le début de la crise économique au Liban, la défiance est toujours largement de mise envers le système bancaire libanais. Tandis que les citoyens libanais continuent de percevoir les établissements bancaires comme des « banques-zombies », Fouad Gemayel a demandé, à trois experts, ce que doivent faire les banques pour regagner la confiance des Libanais

De gauche à droite : Fifi Abou Dib, Frida Debbané et Nayla Abdelnour dans les bureaux de L’Orient-Le Jour à Accaoui. Michel Sayegh/Archives Nayla Abdelnour

Entrer à l’Orient-Le Jour dans les années 80 : la Gorgone, l’athlète et le sacristain

« Vous lisez l’arabe ? L’auteur vient à 16h. Préparez commentaire-interview. Venez chez moi avec le papier à 18h. » Où écrire en français, avec une chance d’être lu, sinon à L’Orient-Le Jour ? À la fin des années 1980, dans un Beyrouth coupé en deux, Fifi Abou Dib rejoint L’Orient-Le Jour. Un peu moins de 40 ans plus tard, à l’occasion du centenaire du journal, elle partage ses souvenirs de toute une époque.

Et pour retrouver tous les articles liés à notre centenaire,  pensez à notre site dédié : www.lorientlejour.com/le-siecle 

Si vous avez raté le Weekender de la semaine dernière

Des robes de mariées, un Tinder de la nourriture et du cinéma : voici le Weekender

Le dramaturge, metteur en scène et acteur libano-canadien Wajdi Mouawad. Photo Simon Gosselin

Affaire Wajdi Mouawad : anatomie d’une aberration

Le théâtre Monnot a annoncé, le 10 avril dernier, avoir été contraint d’annuler la première mondiale de la pièce « Journée de noces chez les Cromagnons ». Wajdi Mouawad, le dramaturge libanais le plus connu dans le monde, s’est ainsi retrouvé dans l’incapacité de jouer sa pièce dans son pays natal. Comment a-t-on pu se retrouver dans une situation aussi absurde ? Joséphine Hobeika revient sur ce qui s’est passé.

Nehmé Darwiche brandissant un pain fraîchement sorti du four. Photo Nehmé Darwiche

Comment un Libanais est passé de la plonge à la restauration en Belgique

A Bruxelles, à quelques centaines de mètres de la Grand-Place, flotte dans l’air une odeur de manakish. Beiruti, un charmant restaurant qui ramène la diaspora libanaise de Belgique à la chaleur de son pays d’origine, a ouvert il y a quelques années. Au four, Nehmé Darwiche. Ghadir Hamadi vous raconte l’histoire de ce Libanais tombé dans la cuisine tout petit...

Sonia et Sam Rykiel entourant leurs enfants Nathalie et Jean-Philippe. Photo extraite du livre « Ce sera le bonheur »

Dans « Ce sera le bonheur », Nathalie Rykiel consigne les éclats d’une vie à l’ombre de Sonia

Malgré une tentative de suivre des études de médecine pour faire plaisir à son père, Nathalie Rykiel est profondément littéraire. Elle aurait même voulu faire du cinéma, ce que la mode, aux côtés de sa mère Sonia Rykiel, lui aura offert à travers la mise en scène des défilés. Ce sera le bonheur, le septième livre de Nathalie Rykiel, est un inclassable, retraçant les souvenirs d’une vie dans l’ombre d’une icône.

La poétesse et écrivaine libano-française Vénus Khoury-Ghata dans son appartement parisien.

Vénus Khoury-Ghata : ses superstitions, ses hantises et ses hommes

« Je ne fais que tomber. C’est peut-être pour payer le succès que j’ai eu pendant ma vie et que je ne méritais pas. » Élevée à la dignité de grand officier dans l’ordre national du Mérite par le président Emmanuel Macron, la poétesse et écrivaine libano-française Vénus Khoury-Ghata se confie au micro de Nada Ghosn, racontant l’histoire d’une femme qui a traversé des décennies de guerre, d’abandon, de mort, pour écrire, raconter, dénoncer.

Dans Le Weekender, L’Orient-Le Jour vous propose une sélection d’articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d’une actualité vraiment sombre en ce moment ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.Émile Issa el-Khoury (à g.) et Faouzi Issa, les copropriétaires du Domaine des Tourelles, le 26 mars 2024, dans une cave du...

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