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Lifestyle - Le Weekender

Des robes de mariées, un Tinder de la nourriture et du cinéma : voici le Weekender

Cette semaine, on vous emmène aussi en Arabie saoudite pour du tennis ; dans les rues de Beyrouth à la rencontre de ceux qui grandissent au Liban sans jamais être libanais ; et à la foire de Tripoli, mise à l'honneur.

Des robes de mariées, un Tinder de la nourriture et du cinéma : voici le Weekender

Illustration Jaimee Haddad / L'Orient-Le Jour

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d'une actualité vraiment sombre en ce moment ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.

Modèle de la collection nuptiale Azzi & Osta 2024-2025. Photo DR

Ces couturiers libanais qui font du mariage un événement hors du temps

Robe longue, robe courte, robe boule, robe bustier... Au Liban, la saison des mariages est désormais officiellement ouverte ! Fifi Abou Dib revient sur les créations des couturiers libanais, qui dédient désormais toute une ligne au mariage, de la robe de mariée à celle des membres du cortège. Pour les coups de cœur de la saison, c'est par ici.

Hans Kristian Furuseth (à g.) Rita Kerbaj et Ben Holdham. Photo DR

Cofondée par la Libanaise Rita Kerbaj, Torg lève 2,7 millions d’euros

« Nous voulons être le Tinder de l’approvisionnement alimentaire. » La Libanaise Rita Kerbaj, co-fondatrice de la start-up Torg, une plateforme qui relie les acheteurs au détail et en gros à plus de 100 000 producteurs d’alimentation et de boissons, a levé 2,7 millions d’euros. Pour le moment, le principal de l’activité d’achat est concentré en Europe ; mais l'objectif reste de se tourner vers le Moyen-Orient. Les détails avec Fouad Gemayel.

L’œuvre lauréate de Mariam Maaliki intitulée « Snippets of a Fair ». Photo DR

La Foire de Tripoli : un prix, une exposition et des visions multiples

Cette année, Tripoli est la capitale arabe de la culture. L'année dernière, la Foire de Tripoli a été inscrite au patrimoine mondial en péril par l’Unesco. Deux bonnes raisons, selon l’ambassade du Brésil à Beyrouth, pour inaugurer l’exposition « Foire de Tripoli : The way I see It » (« Telle que je la vois ») dès le 12 avril et pour deux semaines, à Marsah, al-Mina, Tripoli. L'occasion de redécouvrir et penser l'avenir de l’un des projets modernistes les plus importants du monde arabe, conçu par le célèbre architecte brésilien Oscar Niemeyer.

Aya, 11 ans, dans le quartier de Nabaa. Photo Mohammad Yassine / L'Orient-Le Jour

« Étrangers chez eux » : grandir au Liban sans jamais être libanais

Pour Aya, Ochienga, Diaa, Ahmad et Rawan, nés ici ou venus durant leur enfance, le rapport au Liban s’exprime différemment. A l'occasion du centenaire de L'Orient-Le Jour et de notre deuxième thématique « Grandir » (après « Naissances »), Lyana Alameddine et Noura Doukhi vous racontent les histoires de ceux qui ont fait leur vie au Liban, sans jamais être libanais.

Et pour retrouver tous les articles liés à notre centenaire,  pensez à notre site dédié : www.lorientlejour.com/le-siecle 

Si vous avez raté le Weekender de la semaine dernière

Des lingots libanais, Chantal Goya et un mercato de la mode sont au menu du Weekender


Le Masters WTA de tennis, nouveau coup de com’ signé Arabie saoudite

La troisième a été la bonne pour les promoteurs du sport saoudien. Après avoir essuyé deux refus de l’instance mondiale du tennis féminin (WTA), l’Arabie saoudite a fini par attirer le Masters dans ses filets. Réunissant les huit meilleures joueuses de l’année, ce prestigieux tournoi vient s’ajouter à la longue liste de compétitions sportives majeures qui se disputeront sur le sol saoudien dans les années à venir. Gabriel Blondel revient sur cette conquête saoudienne.

Fanny Ardant au 76e festival de Cannes. Photo AFP

Fanny Ardant : Au Liban, je veux avoir l’air d'une Beyrouthine

Quand on lui demande ce qu'il y a de libanais en elle, Fanny Ardant répond franchement : « Cette envie de vivre malgré toutes les douleurs, tous les chagrins. Malgré les échecs et les pertes. » Au micro de Karl Richa, celle qui a marqué le cinéma français de son absolu besoin de vivre dessine le panorama d’une carrière qui l'amène aujourd’hui au Moyen-Orient avec « Retour en Alexandrie ».

Latifé Moultaka, actrice, metteuse en scène et professeure de théâtre adulée par ses étudiants. Photo archives L'OLJ

Latifé Moultaka retrouve Antoine, son binôme

A 92 ans, Latifé Moultaka n’avait jamais vécu loin de son époux, Antoine Moultaka, avec qui elle avait jeté les bases du théâtre moderne libanais. Depuis la mort de ce dernier, au mois de février, elle semblait impatiente de partir à son tour. L'actrice et metteuse en scène libanaise s'est éteinte mardi soir à l'âge de 92 ans, rejoignant son mari deux mois après son départ. Fifi Abou Dib revient sur son parcours.

Le fondateur et directeur du Beirut International Women Film Festival Sam Lahoud. Photo DR

Plus que des films : Le Festival International des Femmes du Cinéma de Beyrouth défend l'égalité

Douze longs-métrages, neuf documentaires, vingt-sept courts-métrages, douze documentaires courts, huit courts-métrages d’animation et cinq films : le festival qui promeut les femmes au cinéma revient du 14 au 19 avril avec l’actrice égyptienne Yousra en invitée d’honneur. Lola Maupas a rencontré son fondateur et directeur Sam Lahoud.

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d'une actualité vraiment sombre en ce moment ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.Modèle de la collection nuptiale Azzi & Osta 2024-2025. Photo DRCes couturiers libanais qui font du mariage un événement hors du tempsRobe...

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