
Le président égyptien Abdel Fattah el-Sissi recevant au Caire, le 21 novembre 2017, l’ancien Premier ministre Saad Hariri qui avait annoncé quelques jours plus tôt sa démission surprise depuis Riyad. Photo d’archives Dalati et Nohra
Abdel Fattah el-Sissi ne se fait pas d’illusions : la désescalade régionale passe par (la banlieue sud de) Beyrouth.
OLJ / Par Salah HIJAZI, le 05 février 2024 à 21h05
Le président égyptien Abdel Fattah el-Sissi recevant au Caire, le 21 novembre 2017, l’ancien Premier ministre Saad Hariri qui avait annoncé quelques jours plus tôt sa démission surprise depuis Riyad. Photo d’archives Dalati et Nohra
Qui veut jouer ds la cour des grands
Not well come back à l’Égypte qui se veut jouer dans la cour des grands mais qui peine à nourrir son peuple . Et puis quel pays n’a pas encore mouillé ses mains sans notre pétrin .
Les libanais ne sont-ils donc que des gamins qui auront toujours besoin d’un grand frère?
Attention " Attention " qu'on ne noys fasse pas la surprise de nous envoyer encore une fois des masses de réfugiés de Gaza , sous prétexte de renflouer les rangs sunnites ! Nous n'en avons vraiment pas besoin ! Le Liban croule sous leur poids , à l'heure oú nous faisons tout notre possible pour faire rentrer les réfugiés syriens chez eux contrairement à la volonté des pays occidentaux qui n'ont plus l'air d'avoir des sentiments bienfaisants envers le Liban , leur seul et unique dada n'étant autre qu'Israel !
Qui veut jouer ds la cour des grands
14 h 34, le 06 février 2024