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Culture - Beirut Holidays / Entretien

Chris de Burgh : Je voudrais juste qu’il n’y ait plus de famine dans le monde

Le rockeur d'origine irlandaise revient au Liban le 11 juillet, au BIEL. Il raconte en quelques réponses son attachement au pays du Cèdre.

Chris de Burgh.

Que représente pour vous cette quatrième venue au Liban ?
Chaque concert que j'ai joué à Beyrouth a été un plaisir énorme. Mes concerts ici font partie de mes préférés dans le monde. Donc, quand l'opportunité de participer au festival Beirut Holidays s'est présentée, je l'ai saisie. Surtout si je peux aider de quelque façon que ce soit dans l'établissement de ce festival de divertissement, d'arts et de culture. Je saisi aussi l'opportunité de jouer au BIEL car, d'après ce que l'on dit, c'est un lieu merveilleux.

D'où vient cet amour pour le pays du Cèdre ?
Quand je suis arrivé au Liban, juste à la fin de la guerre civile, je suis immédiatement tombé amoureux du pays, des gens et surtout du drame du paysage. Je trouve que Beyrouth est l'une des villes les plus dynamiques du monde. Et bien sûr, ma passion numéro 1 serait la nourriture et le vin libanais, c'est spectaculaire !

Vous avez collaboré avec des artistes libanaises comme Tina Yamout dans « Live for the Day » ou encore avec Elissa dans le fameux titre « Lebanese Nights ». Avez-vous d'autres projets de duo irlando-libanais en vue ?
J'ai vraiment apprécié mes collaborations avec Tina et Elissa, et, bien sûr, avec Hani Hussein, l'artiste égyptien. Ces collaborations sont nées de mes participations à la Star Academy que j'ai vraiment appréciées. Sinon, je n'ai pas de nouvelle musique en projet en ce moment. Mais bien sûr, il serait opportun de travailler avec un autre artiste libanais dans l'avenir, ce sont des artistes talentueux.

Vous avez vendu 50 millions de disques... Que trouve-t-on dans votre iPod ?
J'ai tendance à écouter encore ce qui m'a inspiré en tant que compositeur, par exemple les Beatles, Bob Dylan, Cat Stevens, Steve Winwood, Peter Gabriel. De plus, je suis un grand fan de musique classique, j'en écoute souvent quand je voyage.

Votre dernier album s'intitule « A Better World », comme un message d'espoir à passer. Qu'attendez-vous de ce monde pour qu'il devienne meilleur ?
Je pense que je ne suis pas différent de la plupart des gens dans le monde. J'aimerais simplement voir la paix parmi toutes les nations. J'aimerais que la famine cesse, il y a trop d'enfants dans le monde qui ne mangent pas et qui n'ont pas d'eau tous les jours. Et bien sûr, toutes les maladies évitables comme le paludisme et le choléra devraient être faciles à résoudre.

 

 

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