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Moyen Orient et Monde

Visite surprise de l’émir du Qatar en Arabie saoudite

L'émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, est arrivé hier en Arabie saoudite pour des discussions avec le roi Abdallah, lors d'une visite non annoncée destinée à discuter notamment de la situation à Gaza, selon les médias. En effet, la chaîne aux capitaux saoudiens Al-Arabiya a indiqué que la rencontre entre le souverain saoudien et le dirigeant qatari, dont le pays soutient le mouvement palestinien Hamas en conflit avec Israël, avait eu lieu à Djeddah, sur la mer Rouge. Les deux dirigeants « ont discuté de la coopération entre leurs deux pays, parallèlement aux développements » régionaux, « au premier rang desquels la situation dans les territoires occupés palestiniens », a rapporté l'agence officielle Spa. Les relations entre Doha et Riyad sont très tendues, alors que l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn avaient rappelé leurs ambassadeurs à Doha – une démarche sans précédent – accusant le Qatar de s'ingérer dans leurs affaires et de déstabiliser la région. La soutien du Qatar aux Frères musulman destitué par l'armée en juillet 2013, avait suscité la colère des pays du Golfe, qui, eux, appuient les nouvelles autorités.

L'émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, est arrivé hier en Arabie saoudite pour des discussions avec le roi Abdallah, lors d'une visite non annoncée destinée à discuter notamment de la situation à Gaza, selon les médias. En effet, la chaîne aux capitaux saoudiens Al-Arabiya a indiqué que la rencontre entre le souverain saoudien et le dirigeant qatari, dont le pays soutient le...

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DU DÉSERT AU DÉSERT... C'EST TOUJOURS LE DÉSERT !

MON CLAIR MOT A GEAGEA CENSURE

21 h 00, le 23 juillet 2014

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Commentaires (3)

  • DU DÉSERT AU DÉSERT... C'EST TOUJOURS LE DÉSERT !

    MON CLAIR MOT A GEAGEA CENSURE

    21 h 00, le 23 juillet 2014

  • SUITE ET FIN ..Israël est maintenant, une fois de plus, engagé dans des crimes de guerre colossaux contre une population civile et, pis encore, au moins sur le plan stratégique, ses commandos d’infanterie d’élite sont décimés dans la bataille de rue en face à face dans Gaza. Malgré l’évidente supériorité technologique et en puissance de feu d’Israël, les militants palestiniens sont en train de gagner la bataille sur le terrain et ils ont même réussi à porter le combat en territoire israélien. En outre, les tirs de roquettes sur Tel Aviv ne semblent pas s’arrêter.La défaite de l’armée israélienne laisse l’état juif sans aucun espoir. La morale de l’histoire est simple. Si vous tenez absolument à vivre sur la terre de quelqu’un d’autre, la puissance militaire est l’ingrédient essentiel pour décourager le dépossédé d’agir pour réclamer ses droits. Le nombre de pertes dans l’armée israélienne et le nombre de corps de soldats d’élite israéliens qui retournent chez eux dans des cercueils envoie un message clair aux Israéliens comme aux Palestiniens. Il n’y a pas d’avenir pour un État réservé aux Juifs en Palestine ; ils devront peut-être essayer ailleurs. Gilad Atzmon (jazzman et militant antisioniste britannique) 21 juillet 2014

    FRIK-A-FRAK

    16 h 15, le 23 juillet 2014

  • Dans son discours à la nation, le premier ministre Benjamin Netanyahou a admis aujourd’hui que la guerre à Gaza est une bataille pour l’existence de l’état juif. Netanyahou a raison. Et Israël ne peut pas gagner cette bataille ; il ne peut même pas définir en quoi consisterait une victoire.Ce qui est certain, c’est que la bataille ne porte pas sur les tunnels ou les activités souterraines des militants, les tunnels ne sont que des armes pour la résistance mais pas la résistance en elle-même. Les militants du Hamas et de Gaza ont attiré Israël dans un champ de bataille dans lequel il n’avait aucune chance de gagner et le Hamas a posé les conditions, choisi le terrain et a écrit les termes nécessaires pour la conclusion de ce cycle de violence.Pendant dix jours, Netanyahou a fait tout ce qu’il pouvait pour éviter une opération terrestre de l’armée israélienne. Il se trouvait confronté à la réalité du fait qu’Israël n’a pas de réponse militaire à la résistance palestinienne. Netanyahou savait qu’une défaite sur le terrain anéantirait le peu qui subsiste de capacité de dissuasion de l’armée israélienne.Il y a cinq jours, Israël, du moins aux yeux de ses partisans, avait le dessus. Il voyait ses citoyens soumis à des tirs incessants de roquettes, mais montrait quand même de la retenue, tuant les civils Palestiniens seulement de loin, ce qui contribuait à véhiculer une image imaginaire de puissance. Mais les choses ont vite changé depuis qu’Israël a lancé son opération terrestre.

    FRIK-A-FRAK

    16 h 11, le 23 juillet 2014

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