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Lifestyle - Hors de l'actu

Résistance et résilience libanaise, de Montréal à Beyrouth : faites un pas hors de l’actu

Cette semaine, on vous fait découvrir l'initiative d'une libanaise pour conserver un vestige du mandat français en bord de mer, et on discute théâtre avec Aïda Sabra.

Résistance et résilience libanaise, de Montréal à Beyrouth : faites un pas hors de l’actu

À Aïn el-Mreissé, une maison qui s’ouvre sur la mer. Photo

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de découvrir un nouveau restaurant ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà.


« Parle-moi en arabe » : au Canada, la nouvelle immigration libanaise veut préserver sa langue maternelle

Près de la moitié des plus de 7 000 langues parlées sur la planète sont en danger d’extinction. L’arabe n’en fait pas partie... sauf peut-être au Canada, où certains élèves sont encore punis pour usage de leur langue maternelle à l’école. Mais là-bas, parmi la diaspora libanaise, beaucoup veulent préserver leur langue et la transmettre. Une résistance au quotidien, dont vous parle Amelia Hankins.

Ala Tannir restaure une maison face à la mer à Beyrouth et décroche un prix à Milan

Ala Tannir, jeune architecte libanaise basée à New York, découvre pour la première fois cette maison en bord de mer, à Beyrouth, en 2021. L'idée d’en faire un studio lui plaît immédiatement. Mais très vite, elle comprend qu’un tel lieu « ne peut être tenu pour acquis dans une ville comme Beyrouth ». Restaurer l’une des rares demeures du mandat français à avoir échappé à la frénésie immobilière n'était donc pas une entreprise anodine. Retour avec Nicole Hamouche sur ce projet.

« Des voleurs » : face aux prix de ses billets d’avion, la MEA sous le feu des critiques

Avec des prix qui avoisinent les 1 300 dollars pour un Paris-Beyrouth ou nu Londres-Beyrouth, la MEA s'attire les foudres de la diaspora. Rebaptisée « Voleurs Airlines » par l’humoriste libanaise Coco Makmak, la compagnie aérienne se défend dans les colonnes de L’Orient-Le Jour. Un article de Lisa Goursaud.

Aïda Sabra : Sur scène, je donne de tout mon cœur. Je ne sais pas faire semblant

Au fil de sa trajectoire théâtrale, il y a la souffrance de la guerre, de l’exil et du deuil, mais aussi la passion de la scène et le plaisir de jouer. À Joséphine Hobeika, Aïda Sabra, qui campe le personnage de Nazha dans « Journée de noces chez les Cromagnons » se confie sur son arrivée dans le monde du théâtre, les rôles qui l'ont marquée et sur sa collaboration avec Wajdi Mouawad, entre autres.

Marie Khouri : Certains écrivent leur histoire, moi je la raconte dans mes sculptures

Sous la blancheur lisse de ses formes tout en courbes et en sinuosités se cachent « les trois lettres et les deux ponctuations du mot arabe « Baheb » (J’aime) ». Une sculpture qui invite à s’y poser comme sur un banc, à s’y reposer et même à s’y lover. Dernière histoire en date de l'artiste, elle trône actuellement au centre d’une exposition de l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris. L'occasion pour Zéna Zalzal de revenir sur le parcours de Marie Khouri, qu'elle a interrogé.

Phil and Joe : un bar à champagne new-yorkais dans l’ABC Achrafieh

Située à Achrafieh, l'adresse se trouve aussi entre le meilleur de deux mondes. Aussi bien bar à champagne qu'à café haut de gamme, mêlant esthétique des années 30 à Paris et raffinement oriental, Phil and Joe ne se refuse rien. « C’est le yin et le yang », résume un des fondateurs à Nada Alameddine, qui vous parle de cet investissement ayant frôlé le million de dollars.

À Beyrouth, un bootcamp forme des étudiants du Moyen-Orient à devenir artisans de paix

Construire des ponts plutôt que des murs et bâtir une paix durable par le biais de la médiation et de la résolution amiable des conflits : telle est la mission qui a été assignée aux 50 étudiants universitaires ayant pris part au premier bootcamp régional de médiation organisé les 20 et 21 mai à Beyrouth. Micheline Abi Khalil vous y emmène.

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de découvrir un nouveau restaurant ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà.« Parle-moi en arabe » : au Canada, la nouvelle immigration libanaise veut préserver sa langue maternellePrès de la moitié des plus de 7 000 langues parlées sur la planète sont en danger d’extinction. L’arabe n’en fait pas partie... sauf peut-être au Canada, où certains élèves sont encore punis pour usage de leur langue maternelle à l’école. Mais là-bas, parmi la diaspora libanaise, beaucoup veulent préserver leur langue et la transmettre. Une résistance au quotidien, dont vous parle Amelia Hankins.Ala Tannir restaure une maison face à la...
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