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Environnement - Pollution

La Cimenterie nationale répond à Greenpeace

La Cimenterie nationale (Chekka, Liban-Nord) a répondu vendredi, dans un communiqué, à une étude récente sur la pollution dans le Koura, effectuée par l’Université de Balamand et les laboratoires de Greenpeace à la demande de l’ONG locale Wassiyet el-Ard. Cette étude, dont les résultats ont été annoncés mercredi, montrait que sur une période allant du 22 septembre 2019 au 11 décembre 2020, deux villages à proximité des carrières des cimenteries, Kfarhazir et Fii, étaient exposés la plupart des jours aux particules fines (PM2.5), un polluant redoutable, à un taux bien supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé.

Les rédacteurs du rapport mettent en cause les cimenteries et leurs carrières, mais celles-ci, dans leur communiqué, affirment le contraire. « Durant la période couverte par l’étude et le recensement des taux de PM.2.5, du 22 septembre 2019 au 11 décembre 2020, à Kfarhazir et Fii, les carrières de la Cimenterie nationale et des autres cimenteries de la région étaient à l’arrêt durant 94 % du temps (15 à 16 mois), parce que les ministères de l’Environnement et de l’Industrie avaient refusé de leur livrer les autorisations nécessaires ». « Ce fait contredit les allégations selon lesquelles les carrières des cimenteries seraient responsables des émanations de polluants. Par conséquent, demander aux industries de fermer leurs portes et de se délocaliser n’a aucun fondement légal ou réaliste », ajoute le texte.

La Cimenterie nationale (Chekka, Liban-Nord) a répondu vendredi, dans un communiqué, à une étude récente sur la pollution dans le Koura, effectuée par l’Université de Balamand et les laboratoires de Greenpeace à la demande de l’ONG locale Wassiyet el-Ard. Cette étude, dont les résultats ont été annoncés mercredi, montrait que sur une période allant du 22 septembre 2019 au 11...

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