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Nos Lecteurs ont la Parole

La « res publica »

L’échéance présidentielle est une échéance existentielle entre les mains du citoyen. Cette échéance est à ôter des mains des parlementaires si les Libanais veulent prouver leur amour pour le Liban. La République est morte et les institutions ont été remplacées par la res privata. C’est le moment pour le citoyen spolié et démuni de tout pouvoir de rejeter la res privata.

Depuis plus d’un demi siècle, tout est devenu privé. Le citoyen réclamera en ce temps de faillite et d’absence totale d’État la tutelle internationale. Cette tutelle est la seule voie logique. L’autogestion du pays n’est plus possible et la confiance est nulle. La présidentielle est l’occasion de décider du salut du Liban en ayant recours à cette unique solution. Autrement la présidentielle ne serait que pure parodie une fois de plus.

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique Courrier n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, L’Orient-Le Jour offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires ni injurieux ni racistes.

L’échéance présidentielle est une échéance existentielle entre les mains du citoyen. Cette échéance est à ôter des mains des parlementaires si les Libanais veulent prouver leur amour pour le Liban. La République est morte et les institutions ont été remplacées par la res privata. C’est le moment pour le citoyen spolié et démuni de tout pouvoir de rejeter la res privata. Depuis...

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