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Nos Lecteurs ont la Parole - Nohad BAROUDI

Le Liban à la traîne : notre gaz naturel trouvera-t-il acquéreur ?

Le New York Times du 8 juillet nous fait part du dilemme d’Israël, qui consomme 1 % de son gaz naturel et peine à exporter le reste, car l’Australie, le Qatar, la Russie et les États-Unis inondent le marché à prix réduits.

Où en est notre pays dans cette nouvelle équation, avec ses ressources en hydrocarbures dormant tranquillement (jusqu’à quand) au fond de la mer ? Dans quelques années (espérons), nous serons prêts. Mais les acquéreurs seront-ils au rendez-vous ?

Pensons dès à présent à l’avenir : les voitures électriques. Pour cela, il faudra multiplier les centrales électriques au gaz, car d’abord moins polluantes, mais surtout pour subvenir aux besoins des véhicules électriques qui devront remplacer à terme tous les autres. Les moyens de transport fonctionnant au gaz naturel (la Chine en produit en masse) prendraient entre-temps la relève.

Des lois contraignantes en ce sens seront nécessaires. Nos gouvernants y pensent-ils ?

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour.


Le New York Times du 8 juillet nous fait part du dilemme d’Israël, qui consomme 1 % de son gaz naturel et peine à exporter le reste, car l’Australie, le Qatar, la Russie et les États-Unis inondent le marché à prix réduits.Où en est notre pays dans cette nouvelle équation, avec ses ressources en hydrocarbures dormant tranquillement (jusqu’à quand) au fond de la mer ? Dans...

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