La campagne de la nationalité dénonce la « violence des institutions officielles » exercée contre la femme
OLJ / le 26 février 2013 à 00h28
La campagne « Ils ont droit à la nationalité parce qu’ils sont mes enfants », qui milite pour le droit de la Libanaise à transmettre sa nationalité à sa progéniture née d’un époux étranger, a réclamé hier « une loi qui protégerait la femme libanaise de la violence exercée contre elle par les autorités officielles ». Durant une réunion du Rassemblement national pour l’élimination de tout genre de discrimination contre la femme, tenue hier à Beyrouth, la campagne a commenté « la décision de la commission ministérielle chargée d’étudier l’amendement de la loi sur la nationalité, qui a une fois de plus ajourné l’examen de l’affaire, se contentant d’apporter quelques améliorations aux services préférentiels, notamment les conditions de travail et de séjour ». « Comme si les autorités ne considèrent la femme que comme une citoyenne de seconde zone », poursuit le communiqué. Une fois de plus, la campagne sur la nationalité a demandé « l’amendement du premier article de la loi sur la nationalité, de manière à donner à l’homme et la femme le même droit de transmettre leur nationalité aux enfants » nés d’un conjoint étranger.
La campagne « Ils ont droit à la nationalité parce qu’ils sont mes enfants », qui milite pour le droit de la Libanaise à transmettre sa nationalité à sa progéniture née d’un époux étranger, a réclamé hier « une loi qui protégerait la femme libanaise de la violence exercée contre elle par les autorités officielles ».Durant une réunion du Rassemblement national pour...
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