Des dérives mortelles s’installent sournoisement dans notre justice à l’agonie. Une « omerta » scélérate empêche de consciencieux hommes de loi – soucieux de leur serment professionnel – d’aller en justice au nom de la vérité et de la morale, contre des confrères empêtrés dans leurs flagrantes erreurs et leurs sordides compromissions.
Spectacle onirique et dégradant que ces innombrables victimes, privées de leurs biens, leurs libertés et leurs droits, croupissant désespérément aux portes des études dorées, tapissées ostensiblement d’ouvrages juridiques plein-cuir, où nos ténors du barreau réinventent une casuistique d’apprentis sorciers pour masquer leur déni de justice.
Nos bâtonniers de l’ordre des avocats, laborieusement élus, feraient bien de se pencher sur cette imposture pour freiner notre dégringolade dans les abysses de la non-civilisation.
Spectacle onirique et dégradant que ces innombrables victimes, privées de leurs biens, leurs libertés et leurs droits, croupissant désespérément aux portes des études dorées, tapissées ostensiblement d’ouvrages juridiques plein-cuir, où nos ténors du barreau réinventent une casuistique d’apprentis sorciers pour masquer leur déni de justice.
Nos bâtonniers de l’ordre des avocats, laborieusement élus, feraient bien de se pencher sur cette imposture pour freiner notre dégringolade dans les abysses de la non-civilisation.
Des dérives mortelles s’installent sournoisement dans notre justice à l’agonie. Une « omerta » scélérate empêche de consciencieux hommes de loi – soucieux de leur serment professionnel – d’aller en justice au nom de la vérité et de la morale, contre des confrères empêtrés dans leurs flagrantes erreurs et leurs sordides compromissions.Spectacle onirique et dégradant que...
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