L’usine Pharmaline à Nahr Ibrahim, au Liban, le 11 mars 2024. João Sousa/L’Orient Today
Quatre ans et demi après le début de l’effondrement économique au Liban, une importante partie des secteurs économiques du pays et de ses industries se retrouve décimée. À quelques exceptions près.De plus, le Liban fait face à une crise multiforme....
Quatre ans et demi après le début de l’effondrement économique au Liban, une importante partie des secteurs économiques du pays et de ses industries se retrouve décimée. À quelques exceptions près.De plus, le Liban fait face à une crise multiforme....
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C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
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C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
Ca va mieux en le disant
09 h 35, le 30 avril 2024
Les médicaments coûtent plus cher en emballages qu'en pilules... Ils n'ont qu'à les vendre en vrac...
Gros Gnon
16 h 11, le 28 avril 2024
Très bien et bonne chance aux champions nationaux. Dommage l'article n'aborde pas le sujet de l'export.
C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
09 h 35, le 30 avril 2024