L’usine Pharmaline à Nahr Ibrahim, au Liban, le 11 mars 2024. João Sousa/L’Orient Today
Quatre ans et demi après le début de l’effondrement économique au Liban, une importante partie des secteurs économiques du pays et de ses industries se retrouve décimée. À quelques exceptions près.L’industrie pharmaceutique locale, dont les producteurs se sont mis à pallier les lacunes du marché autrefois comblées par des médicaments importés, en est un parfait exemple. Selon Carole Abi Karam, présidente du Syndicat des industries pharmaceutiques au Liban (SPIL) et directrice générale du groupe industriel Pharmaline, la part de marché des médicaments fabriqués localement a triplé ces trois dernières années, passant de 10 % de l’ensemble des médicaments à 30 %. Le reste était constitué de produits importés par des multinationales et des entreprises pharmaceutiques régionales. Lire aussi Comment la nouvelle levée des subventions va...
Quatre ans et demi après le début de l’effondrement économique au Liban, une importante partie des secteurs économiques du pays et de ses industries se retrouve décimée. À quelques exceptions près.L’industrie pharmaceutique locale, dont les producteurs se sont mis à pallier les lacunes du marché autrefois comblées par des médicaments importés, en est un parfait exemple. Selon Carole Abi Karam, présidente du Syndicat des industries pharmaceutiques au Liban (SPIL) et directrice générale du groupe industriel Pharmaline, la part de marché des médicaments fabriqués localement a triplé ces trois dernières années, passant de 10 % de l’ensemble des médicaments à 30 %. Le reste était constitué de produits importés par des multinationales et des entreprises pharmaceutiques régionales. Lire aussi Comment la...
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C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
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C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
Ca va mieux en le disant
09 h 35, le 30 avril 2024
Les médicaments coûtent plus cher en emballages qu'en pilules... Ils n'ont qu'à les vendre en vrac...
Gros Gnon
16 h 11, le 28 avril 2024
Très bien et bonne chance aux champions nationaux. Dommage l'article n'aborde pas le sujet de l'export.
C'est bien, on va enfin pouvoir installer une gigafactory à Baalbak pour inonder le marché saoudien des petits comprimés captatruc dont ils raffollent. Quand on a pas d'pétrole, on a des idées !
09 h 35, le 30 avril 2024