Les membres du Conseil supérieur de la magistrature ont entamé hier les interrogatoires préliminaires de 21 détenus du groupuscule islamiste de Fateh el-islam. Lors de ces interrogatoires qui ont lieu au Palais de justice à Beyrouth, les détenus doivent décliner leur identité et décider s’ils souhaitent ou non qu’un avocat leur soit assigné, a précisé l’Agence nationale d’information (ANI). Le procès des détenus commencera après ces interrogatoires, devant la Cour de justice.
Les affrontements au camp de réfugiés palestiniens de Nahr el-Bared, au Liban-Nord, en 2007, entre les islamistes de Fateh el-islam et l’armée libanaise avaient fait 400 morts, dont 168 soldats. Des dizaines d’islamistes sont détenus depuis lors sans procès.
Pour sa part, l’association al-Sajin s’est félicitée du début des interrogatoires des prisonniers islamistes. Le communiqué estime qu’« il s’agit d’une mesure importante allant dans le sens de la justice, même si elle a tardé de plusieurs années et que ce retard a nui à l’image du Liban en matière de droits de l’homme ».
L’association a espéré que « les interrogatoires de tous les détenus à Roumieh et dans d’autres prisons soient inclus dans ce processus, quelles que soient leurs apppartenances politiques ou les régions d’où ils sont issus, parce que la justice ne connaît pas la discrimination ».
Les affrontements au camp de réfugiés palestiniens de Nahr el-Bared, au Liban-Nord, en 2007, entre les islamistes de Fateh el-islam et l’armée libanaise avaient fait 400 morts, dont 168 soldats. Des dizaines d’islamistes sont détenus depuis lors sans procès.
Pour sa part, l’association al-Sajin s’est félicitée du début des interrogatoires des prisonniers islamistes. Le communiqué estime qu’« il s’agit d’une mesure importante allant dans le sens de la justice, même si elle a tardé de plusieurs années et que ce retard a nui à l’image du Liban en matière de droits de l’homme ».
L’association a espéré que « les interrogatoires de tous les détenus à Roumieh et dans d’autres prisons soient inclus dans ce processus, quelles que soient leurs apppartenances politiques ou les régions d’où ils sont issus, parce que la justice ne connaît pas la discrimination ».
Les membres du Conseil supérieur de la magistrature ont entamé hier les interrogatoires préliminaires de 21 détenus du groupuscule islamiste de Fateh el-islam. Lors de ces interrogatoires qui ont lieu au Palais de justice à Beyrouth, les détenus doivent décliner leur identité et décider s’ils souhaitent ou non qu’un avocat leur soit assigné, a précisé l’Agence nationale...