Alors que le pays vit au rythme des découvertes de nouveaux stocks de viandes avariées tous les jours, le ministre du Tourisme, Fadi Abboud, a estimé hier que « 185 tonnes de viandes avariées ne représentent qu’une petite partie de la consommation quotidienne du Liban ». « Combien de cas d’empoisonnement ont été recensés dans des restaurants au Liban ? Rien qui vaille la peine d’être signalé », a-t-il conclu...
Par ailleurs, dans le même dossier, le premier juge d’enquête de Beyrouth, Ghassan Oueidate, a délivré hier des mandats d’arrêt contre les frères Sleiman et Samih Natour, deux des commerçants dans les dépôts desquels des tonnes de viandes avariées ont été saisies. Le juge a interrogé Sleiman Natour et a reporté l’interrogatoire de son frère Samih, pour lui permettre de préparer son dossier. Entre-temps, les découvertes affreuses se succèdent. Hier, les forces de l’ordre ont trouvé de nouvelles tonnes de viandes avariées à Aïtaroun, incinérées en plein air. D’autres ont été saisies dans un dépôt à Tyr.
Par ailleurs, dans le même dossier, le premier juge d’enquête de Beyrouth, Ghassan Oueidate, a délivré hier des mandats d’arrêt contre les frères Sleiman et Samih Natour, deux des commerçants dans les dépôts desquels des tonnes de viandes avariées ont été saisies. Le juge a interrogé Sleiman Natour et a reporté l’interrogatoire de son frère Samih, pour lui permettre de préparer son dossier. Entre-temps, les découvertes affreuses se succèdent. Hier, les forces de l’ordre ont trouvé de nouvelles tonnes de viandes avariées à Aïtaroun, incinérées en plein air. D’autres ont été saisies dans un dépôt à Tyr.
Alors que le pays vit au rythme des découvertes de nouveaux stocks de viandes avariées tous les jours, le ministre du Tourisme, Fadi Abboud, a estimé hier que « 185 tonnes de viandes avariées ne représentent qu’une petite partie de la consommation quotidienne du Liban ». « Combien de cas d’empoisonnement ont été recensés dans des restaurants au Liban ? Rien qui vaille la peine...
« 185 tonnes de viandes avariées ne représentent qu’une petite partie de la consommation quotidienne du Liban » Dit M. le Ministre : cela ressemble étrangement à une incitation à continuer dans l'empoisonnement des citoyens!
11 h 06, le 17 mars 2012