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Rouge victoire

Deux sommets en enfilade : l'un à Doha pour s'en mettre plein la gueule, l'autre à Koweït pour se peloter. Les roitelets et potentats arabes ne changeront jamais. Depuis le temps que dure ce cirque, ils devraient même remercier les Hébreux qui, par leur sauvagerie tout en finesse et humanité, leur fournissent régulièrement matière à se bécoter. Des bécots de courte durée toutefois, puisqu'à peine levés de table chez Abdallah ben Abdel-Zizou qui venait de les nourrir, Bachar-Laurel et Hamad-Hardy se remettaient à gambader avec les barbus du Hamas, zappant allègrement ce pauvre Mahmoud Abbas, désormais déculotté de son fauteuil de président palestinien.
Résultat des courses : un milliard de dollars et des poussières à saupoudrer sur Gaza. Sans aucun contrôle, puisque les participants au pince-fesse de Koweït n'ont pas été fichus de s'entendre sur le Fonds de financement. Une manne dont la population meurtrie ne verra sans doute pas même la couleur verte. Pardi ! Faut bien qu'Ismaïl Haniyeh et ses spadassins se refassent une santé avec de nouvelles villas et un parc de bahuts blindés. Comme quoi, on peut faire vœu de pauvreté, mais en même temps avoir des goûts de riche. Islamiste, c'est un métier !
Avec la petite monnaie qui restera, les excités du burnous n'auront plus beaucoup de marge pour détruire Israël. Tant pis, ils pourront toujours continuer à chanter victoire sur les ruines fumantes d'un territoire exsangue. Mais comment danser quand on n'a plus de pieds ? Comment applaudir quand on n'a plus de mains ? 1 400 morts, 5 500 blessés, des dizaines de milliers de sans-abri... À partir de quels chiffres se mesure la défaite ?
Khaled Mechaal, le demi-dieu exotique du Hamas, n'a pas trop l'air de s'embarrasser de ce genre de scrupules. Facile de fanfaronner et d'empiler les triomphes sous les figuiers à Damas, loin des femmes et des enfants réduits en charpie... Palestiniens, un peu de patience, que diable ! Plus on se casse la gueule, plus il y a de l'espoir.
De massacres en destructions... jusqu'à la victoire finale !
Deux sommets en enfilade : l'un à Doha pour s'en mettre plein la gueule, l'autre à Koweït pour se peloter. Les roitelets et potentats arabes ne changeront jamais. Depuis le temps que dure ce cirque, ils devraient même remercier les Hébreux qui, par leur sauvagerie tout en finesse et humanité, leur fournissent régulièrement matière...
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