Où va le monde ?
Un kamikaze se fait exploser dans un aéroport, tue des innocents et sème la terreur au nom de Dieu, en espérant mériter le paradis. Mais de quel Dieu parle-t-on ? Nulle part dans un livre saint il n'est prescrit de commettre des opérations suicidaires.
J'ai entendu l'autre jour un homme de religion parler des prophètes Abraham et Moïse. Or les adeptes doivent connaître les dix commandements dont l'un dit : « Tu ne tueras point. »
Et ces cagoules noires venues, il y a peu, provoquer la panique dans les rues de la capitale pour faire pression afin de renverser le gouvernement... Décidément, tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins ! Que va-t-il se passer maintenant ? Nul ne le sait. C'est le suspense ; on vit au jour le jour.
Le Moyen-Orient est en ébullition pendant que nos voisins se moquent de nous. Ou sont l'amour, la tolérance, le pardon et la justice. On s'est détourné du Dieu qui nous a appris le véritable amour celui du prochain. Réveillez-vous, unissez-vous : tout ce que nous demandons, c'est de vivre en paix et de ramener nos enfants de l'étranger.
Une taxe indue
Le 31.01.05, je réponds à un appel d'offres pour travaux à la municipalité de Beyrouth. Je suis déclaré adjudicataire provisoire.
Le 11.01.06, sans notification au titulaire de la signature de l'acte d'engagement (c'est-à-dire sans contrat), je reçois un ordre de commencer les travaux. Ordre sans contrat que je refuse, bien entendu.
Le 04.07.06, je reçois le décret 7/594, de résiliation, (de quoi ?), avec mainmise provisoire sur la LG, en attendant la réadjudication et le décompte définitif des travaux.
Le 21.10.09, le conseil municipal, par décret n° 909, décide d'annuler tous les effets du décret 7/594 et ordonne la restitution de la LG, etc.
Le 06.11.09, ce décret est envoyé au mohafez pour information et exécution.
Le 30.09.10, passant outre au décret 909, et sans réadjudication ni justification aucune (le fait du prince), le mohafez réclame à la banque de lui payer le montant de la garantie. Chose faite.
Je laisse aux lecteurs le soin de commenter et à la municipalité le soin de remédier à ces agissements et leurs conséquences.
Un kamikaze se fait exploser dans un aéroport, tue des innocents et sème la terreur au nom de Dieu, en espérant mériter le paradis. Mais de quel Dieu parle-t-on ? Nulle part dans un livre saint il n'est prescrit de commettre des opérations suicidaires.
J'ai entendu l'autre jour un homme de religion parler des prophètes Abraham et Moïse. Or les adeptes doivent connaître les dix commandements dont l'un dit : « Tu ne tueras point. »
Et ces cagoules noires venues, il y a peu, provoquer la panique dans les rues de la capitale pour faire pression afin de renverser le gouvernement... Décidément, tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins ! Que va-t-il se passer maintenant ? Nul ne le sait. C'est le suspense ; on vit au jour le jour.
Le Moyen-Orient est en ébullition pendant que nos voisins se moquent de nous. Ou sont l'amour, la tolérance, le pardon et la justice. On s'est détourné du Dieu qui nous a appris le véritable amour celui du prochain. Réveillez-vous, unissez-vous : tout ce que nous demandons, c'est de vivre en paix et de ramener nos enfants de l'étranger.
Amalia SAYEGH
Une taxe indue
Le 31.01.05, je réponds à un appel d'offres pour travaux à la municipalité de Beyrouth. Je suis déclaré adjudicataire provisoire.
Le 11.01.06, sans notification au titulaire de la signature de l'acte d'engagement (c'est-à-dire sans contrat), je reçois un ordre de commencer les travaux. Ordre sans contrat que je refuse, bien entendu.
Le 04.07.06, je reçois le décret 7/594, de résiliation, (de quoi ?), avec mainmise provisoire sur la LG, en attendant la réadjudication et le décompte définitif des travaux.
Le 21.10.09, le conseil municipal, par décret n° 909, décide d'annuler tous les effets du décret 7/594 et ordonne la restitution de la LG, etc.
Le 06.11.09, ce décret est envoyé au mohafez pour information et exécution.
Le 30.09.10, passant outre au décret 909, et sans réadjudication ni justification aucune (le fait du prince), le mohafez réclame à la banque de lui payer le montant de la garantie. Chose faite.
Je laisse aux lecteurs le soin de commenter et à la municipalité le soin de remédier à ces agissements et leurs conséquences.
Philippe SAROUPHIM
Où va le monde ?Un kamikaze se fait exploser dans un aéroport, tue des innocents et sème la terreur au nom de Dieu, en espérant mériter le paradis. Mais de quel Dieu parle-t-on ? Nulle part dans un livre saint il n'est prescrit de commettre des opérations suicidaires. J'ai entendu l'autre jour un homme de religion parler des prophètes Abraham et Moïse. Or les adeptes doivent connaître...
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