Les diverses menaces israéliennes proférées à l'égard du Liban devraient être prises au sérieux. C'est ce qui ressort des rapports diplomatiques qui parviennent à Beyrouth et qui mettent en garde contre une possible attaque israélienne contre le Liban dans le courant du premier trimestre de 2010.
Les sources du palais Bustros indiquent dans ce cadre que des rapports diplomatiques parvenus à Beyrouth soulignent que tout porte à croire qu'une nouvelle agression israélienne pourrait se produire au cours du premier trimestre de l'année prochaine, et auquel cas « elle sera plus destructrice que l'agression de juillet 2006 ». « Il ne faudrait pas prendre à la légère la gravité des menaces israéliennes », soulignent les sources du palais Bustros qui relèvent que si cette attaque se confirme, « elle ne visera pas uniquement des objectifs du Hezbollah, mais également des institutions civiles et militaires, ainsi que l'infrastructure du pays », le but recherché étant d'adresser « un message très sévère au peuple libanais en raison du mutisme qu'il observe vis-à-vis de la poursuite de l'armement du Hezbollah », en violation des résolutions 1559 et 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU.
Les informations rapportées par les milieux diplomatiques sur ce plan recoupent les propos tenus en public par le Premier ministre Saad Hariri lors de sa visite à Copenhague, la semaine dernière. Le chef du gouvernement avait également mis en garde contre une attaque israélienne, soulignant qu'il serait erroné de prendre ces menaces à la légère. M. Hariri avait alors souligné la nécessité d'alerter les grandes puissances afin de couper court aux velléités israéliennes.
Dans un tel contexte, les sources du palais Bustros soulignent l'importance des diverses démarches effectuées par le président Michel Sleiman à l'étranger. De même source, on affirme qu'il ressort de la dernière visite que le chef de l'État a effectuée à Washington que le président américain Barack Obama apprécie à sa juste valeur l'action menée par le président Sleiman et sa capacité à surmonter les nombreuses difficultés auxquelles est confronté le Liban, en sus de ses efforts réussis sur le plan du rapprochement des points de vue entre les responsables politiques locaux. Les sources diplomatiques libanaises soulignent dans ce cadre que le chef de l'État devrait mettre à profit le climat de détente perceptible depuis quelque temps dans la région afin de convoquer au plus tôt le comité de dialogue dans le but de consolider les progrès réalisés ces derniers mois sur la scène locale. Les réunions du comité de dialogue permettraient de bétonner ainsi la stabilité politique et sécuritaire interne. Les perspectives de dégel entre le Premier ministre et le régime iranien, qui a adressé à M. Hariri une invitation officielle à se rendre à Téhéran, s'inscriraient aussi dans le sillage de ces tentatives de détente locale et régionale.
Les sources du palais Bustros indiquent dans ce cadre que des rapports diplomatiques parvenus à Beyrouth soulignent que tout porte à croire qu'une nouvelle agression israélienne pourrait se produire au cours du premier trimestre de l'année prochaine, et auquel cas « elle sera plus destructrice que l'agression de juillet 2006 ». « Il ne faudrait pas prendre à la légère la gravité des menaces israéliennes », soulignent les sources du palais Bustros qui relèvent que si cette attaque se confirme, « elle ne visera pas uniquement des objectifs du Hezbollah, mais également des institutions civiles et militaires, ainsi que l'infrastructure du pays », le but recherché étant d'adresser « un message très sévère au peuple libanais en raison du mutisme qu'il observe vis-à-vis de la poursuite de l'armement du Hezbollah », en violation des résolutions 1559 et 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU.
Les informations rapportées par les milieux diplomatiques sur ce plan recoupent les propos tenus en public par le Premier ministre Saad Hariri lors de sa visite à Copenhague, la semaine dernière. Le chef du gouvernement avait également mis en garde contre une attaque israélienne, soulignant qu'il serait erroné de prendre ces menaces à la légère. M. Hariri avait alors souligné la nécessité d'alerter les grandes puissances afin de couper court aux velléités israéliennes.
Dans un tel contexte, les sources du palais Bustros soulignent l'importance des diverses démarches effectuées par le président Michel Sleiman à l'étranger. De même source, on affirme qu'il ressort de la dernière visite que le chef de l'État a effectuée à Washington que le président américain Barack Obama apprécie à sa juste valeur l'action menée par le président Sleiman et sa capacité à surmonter les nombreuses difficultés auxquelles est confronté le Liban, en sus de ses efforts réussis sur le plan du rapprochement des points de vue entre les responsables politiques locaux. Les sources diplomatiques libanaises soulignent dans ce cadre que le chef de l'État devrait mettre à profit le climat de détente perceptible depuis quelque temps dans la région afin de convoquer au plus tôt le comité de dialogue dans le but de consolider les progrès réalisés ces derniers mois sur la scène locale. Les réunions du comité de dialogue permettraient de bétonner ainsi la stabilité politique et sécuritaire interne. Les perspectives de dégel entre le Premier ministre et le régime iranien, qui a adressé à M. Hariri une invitation officielle à se rendre à Téhéran, s'inscriraient aussi dans le sillage de ces tentatives de détente locale et régionale.
Les diverses menaces israéliennes proférées à l'égard du Liban devraient être prises au sérieux. C'est ce qui ressort des rapports diplomatiques qui parviennent à Beyrouth et qui mettent en garde contre une possible attaque israélienne contre le Liban dans le courant du premier trimestre de 2010. Les sources du palais Bustros indiquent...
