Illustration Jaimee-Lee Haddad / L'Orient-Le Jour
Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause et tenter de déconnecter (un peu) d'une actualité particulièrement sombre en ce moment.
Illustration Jaimee-Lee Haddad / L'Orient-Le Jour
À la rencontre de nos commentateurs, l’autre famille de « L’Orient-Le Jour »
Des analyses, des poèmes, des insultes, des menaces, des louanges, des coups de gueule, des cris du cœur ou de désespoir, des traits d’humour, des accès de complotisme, des rappels à l’orthographe… Depuis 2005, des centaines de lecteurs de L’Orient-Le Jour commentent, chaque jour et sur tous les tons, nos articles en ligne. À l'occasion de notre centenaire, nous avons contacté quelques-uns d'entre eux.
Clément, à gauche, et Marc Tannouri, "des photocopies", ou presque. Photo DR
Clément et Marc Tannouri : Du pain (bénit), des croissants et des viennoiseries
L'un est né à Zahlé, l'autre à Lyon, et ils ont tous les deux grandi dans la capitale mondiale de la gastronomie. C'est d'ailleurs ce qui, des années plus tard, les a réunit : Clément et Marc Tannouri ont lancé leur boulangerie-pâtisserie depuis la Békaa où la marque est désormais bien installée. Carla Henoud est allée à leur rencontre.
Illustration Iva Kovic-Chahine avec intelligence artificielle.
« L’Orient-Le Jour » en ligne : une odyssée de l’e-space
Deux ans après Le Monde, un an après le New York Times, L’Orient-Le Jour investissait le web… Iva Kovic-Chahine vous raconte la transformation numérique de notre publication. Une histoire d'enthousiasme, de réticences, d'hésitation, d'adaptation et d'exploration...
Dida Guigan. Photo DR
Dida Guigan, l’émouvante quête identitaire d’une voix suisse au grain libanais
Elle vient de faire l’ouverture du festival Jazz sous les étoiles, où elle a fait découvrir à un public helvétique ses reprises de célèbres titres du répertoire de la chanson arabe. Zéna Zalzal vous raconte l'histoire de Dida Guigan, Suissesse adoptée au Liban partie à la recherche de ses racines. Au bout du chemin, elle découvrira que sa mère biologique n'était, en fait, qu'à quelques pas...
Buco, Saïfi Village, Beyrouth. Photo C.C.
Subtilité et nuances chez Buco : l’art de la complexité
Lorsque Cordon Courtine a entendu qu’un ancien sous-chef du Noma, triplement étoilé Michelin établi à Copenhague, cinq fois élu meilleur restaurant du monde, ouvrait son propre restaurant à Beyrouth, il a eu du mal à y croire. Et pourtant : le voici attablé à Buco, à décortiquer le menu des burgers et cocktails de ce nouveau restaurant de Saïfi. Découvrez son verdict.
La chanteuse durant sa prestation à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris en juillet 2024. Capture d’écran de son compte Instagram
Aya Nakamura, anatomie d’un phénomène
Elle est plus qu’une simple star. Elle incarne à elle seule un phénomène. Alors que la participation d'Aya Nakamura à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 en a fait s'étrangler plus d'un, Gilles Khoury revient sur le parcours de la chanteuse française la plus écoutée dans le monde.
À droite dans cette photo, le salon octogonal qui a permis de situer la maison Medawar, future Malhamé. Photo Gaby Daher
Derrière le siège du parti Kataëb, c’est toute l’histoire des Malhamé qui se raconte
Intrigué par le vieux cliché d’une imposante demeure trônant sur la pointe Medawar, puis par une aquarelle de l’orientaliste Luit Lloyd représentant la même maison, Gaby Daher mettra presque une décennie à découvrir qu’il s’agit de l’actuel siège du parti Kataëb, à Saïfi. May Makarem remonte le fil de l'histoire de cette famille, à travers les photographies et aquarelles représentant l’ancienne demeure Malhamé.
La médaillée de bronze italienne Beatrice Maria Vio Grandis célébrant sa victoire à l’épreuve d’escrime en fauteuil roulant, catégorie B, durant les Jeux paralympiques de Paris 2024. Thibaud Moritz/AFP
Qui est Bebe Vio Grandis, la star des Jeux paralympiques de Paris ?
Ambassadrice de L'Oréal, égérie de Nike, une poupée Barbie à son effigie : escrimeuse amputée des quatre membres, Bebe Vio Grandis, 27 ans, a derrière elle un parcours étonnant et un palmarès qui laisse pantois. Fifi Bou Dib dresse son portrait.