
Le Conseil des ministres réuni le 5 décembre 2022 au Sérail. Photo Dalati et Nohra
Deux ministres proches du courant aouniste ont présenté des recours en invalidation des décrets émis lors de la réunion gouvernementale du 5 décembre dernier.
OLJ / Par Yara ABI AKL, le 06 janvier 2023 à 00h00
Le Conseil des ministres réuni le 5 décembre 2022 au Sérail. Photo Dalati et Nohra
Il ne manquait que Georges Maarawi comme directeur des Finances, pour compliquer davantage toute solution, et plutôt retarder un éventuel compromis. Ce monsieur abuse quand l'occasion se présente, mais,en se référant aux lois.
Oui, Aoun et Bassil vont continuer en 2023 à faire descendre le Liban en enfer.
Que le CPL arrête cette fronde ridicule au nom de la Constitution et des prérogatives! S'il y est tant attaché,Bassil n'a que se présenter comme candidat à la présidence,et il sera peut-être élu grâce à son allié.Au lieu de hausser le ton contre le Premier ministre,le chef de l'Eglise maronite devrait le hausser contre les partis chrétiens qui,à cause de leur divisions chroniques,risquent de tout perdre. M.Z
Que des ministres sortants... Ils ne sont meme pas rentres pour commencer..! Quelle republique bananiere....!
Le gendron qui s’était érigé en président tout terrain et en décideur, sans respecter la constitution ni les institutions pour les achever sur ordre, s’insurge contre un premier ministre qui même démissionnaire a le droit légitime de régler les problèmes urgents du pays tels que l’aide aux malades dépourvus de médicaments et surtout des libanais sans électricité, cette denrée devenue rare grâce aux exploits de l’ancien ministre le gendron, qui a pris le soin de saccager ce qui restait pour acheminer des barges sur lesquelles il s’est généreusement servi? On croit rêver. Il veut que le pays continue à agoniser pour pouvoir l’achever en bonne et due forme et faire croire que le départ du président épouvantail est la raison de l’effondrement alors que nous savons qui l’a mené en enfer en tenant sa parole pour une fois avec l’aide des fossoyeurs sans sourciller. Ils continuent leur politique de blocage sous prétexte que la constitution qu’ils ont dénigré et foulé n’est pas respectée. Oh la bonne excuse.
Le bilan de la présidence sur le dernier mandat ayant été égal à zéro, on ne peut pas reprocher au premier ministre de vouloir faire quelque chose. Les présidents qui se sont succédés à ce poste n'ont eu besoin de personne pour affaiblir, de par leurs maigres résultats, la présidence et ses prérogatives.
Il ne manquait que Georges Maarawi comme directeur des Finances, pour compliquer davantage toute solution, et plutôt retarder un éventuel compromis. Ce monsieur abuse quand l'occasion se présente, mais,en se référant aux lois.
21 h 32, le 07 janvier 2023