Il serait étonnant que les kalachnikovs et les cocktails Molotov (de conception… russe) suffisent en Ukraine à faire reculer l’agresseur russe. Heureusement, l’Occident répond présent comme jamais. Toutes les tuiles occidentales qui s’abattent sur la Russie ces temps-ci (sanctions diverses, fourniture d’armements, retrait d’investisseurs, etc.) doivent surprendre le premier intéressé, le maître du Kremlin, Vladimir Poutine. Il est à prévoir que le peuple russe lui-même, qui commence déjà à payer pour la folie de ses principaux dirigeants indélogeables, exercera au fil des semaines une pression accrue sur le pouvoir. La Chine, deuxième économie mondiale, doit en tirer une leçon : même si elle est beaucoup plus riche que la Russie, il lui arrivera la même chose si elle envahit l’île rebelle de Taïwan. Et pis encore, considérant que les États-Unis interviendront militairement.
Montréal-Québec
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