Au Sommet national de l’islamophobie tenu récemment à Ottawa, le maire de Calgary, Naheed Nenshi, a critiqué sévèrement la loi sur la laïcité de l’État québécois en ces termes : « Nous vivons dans un pays où, dans une province, il y a une loi qui dit aux femmes musulmanes qu’elles ne sont pas admissibles à certains emplois. » De son côté, le Conseil national des musulmans canadiens (CNMC) a demandé au gouvernement Trudeau de créer « un fonds pour aider les personnes touchées » par cette loi.
J’agrée en partie cette proposition du CNMC. Un fonds privé – et non gouvernemental – devrait être créé pour aider financièrement les musulmanes à quitter le Québec pour une autre province si elles refusent obstinément de travailler sans voile. Car ces femmes sont en réalité des islamistes, et elles ne sont de toute façon pas bienvenues au Québec (maris compris, le cas échéant). Mais si, en revanche, elles sont bien acceptées dans le ROC (Rest of Canada), notamment au Manitoba, eh bien, tant mieux pour elles.
Sylvio LE BLANC
Montréal-Québec
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commentaires (1)
ON NE PEUT QUE RESPECTER LA LOI DU QUEBEC , CETTE LOI QUI MET UN FREIN A BEAUCOUP TROP DE PERMISSIBILITE QUI ONT FINI PAR RUINE QUELQUES PAYS. ASSEZ C'EST ASSEZ.
Gaby SIOUFI
10 h 36, le 27 juillet 2021