La fête de l’espoir pointe à l’horizon, ainsi que la fête du renouveau.
Outre les heureuses surprises et les cris de joie des petits, ainsi que les réunions festives qui insufflent un espoir parfois fou et une confiance bien ancrée dans le cœur des enfants, nous autres, adultes réalistes, avons nous aussi une profonde foi dans la réalisation de nos espoirs les plus primaires et les plus raisonnables : la renaissance de notre pays débarrassé de tous les cancers qui le rongent.
Je demande donc au père Noël d’insuffler dans le cœur et la conscience de nos dirigeants le sens du devoir, la conscience professionnelle, le sens de l’éthique et le respect de leurs compatriotes. J’espère aussi l’éveil de leur compassion envers un peuple qui porte le drapeau de l’amour de sa patrie moribonde.
Leur paresse et leur léthargie sont le pire des crimes face à cette souffrance.
Nous avons vécu la mort de l’espoir et le résultat stérile de la belle résistance d’un peuple opiniâtre, déçue et réprimée illégalement et lâchement par la force des armes. Elle criait ce besoin frustré depuis des années d’une patrie rassurante et d’un pays digne de ce nom.
Espoir et renouveau… Bonnes fêtes !
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