Rechercher
Rechercher

Liban

Rifi salue la mémoire de Walid Eido

S'exprimant à l'occasion du huitième anniversaire de l'assassinat de Walid Eido, le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a estimé que l'aube de la liberté pointe à l'horizon pour les hommes libres et que le maillet de la justice menace les criminels. M. Rifi a adressé un vibrant hommage à M. Eido dont voici quelques passages :
« Les criminels ont fait exploser leur haine et leur rancœur en la personne du juge Walid Eido et de son fils Khaled, dans un crime qui a profondément touché la patrie et la justice. Ils ont voulu t'adresser un message terroriste sanglant, ils ont voulu te faire taire définitivement, mais ils ont oublié que ton parcours parsemé par la justice et le savoir est hors de leur portée. Ils ont oublié que l'école de Rafic Hariri, de laquelle nous avons été diplômés, ne fermera jamais ses portes. (...) Ils n'ont pas trouvé un autre moyen de te combattre à part celui de te tuer, eux les lâches qui n'osent pas te confronter. Ils resteront des fugitifs cachés dans l'obscurité, mais ils seront rattrapés par la justice bientôt. Au huitième anniversaire de ta disparition, j'aimerais adresser un message à tous les hommes libres en leur disant de patienter car l'aurore de la liberté pointe à l'horizon et le maillet de la justice commence à menacer la fausse entité des criminels. Et aux criminels, je dis : nous ne vous avons jamais craint et vous n'allez pas réussir à éteindre la volonté de vivre qui brille en nous ; et ne pensez pas que nous craignons la mort, c'est notre destin à tous. Mourir en toute dignité est plus valeureux que de vivre dans l'humiliation. »

S'exprimant à l'occasion du huitième anniversaire de l'assassinat de Walid Eido, le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a estimé que l'aube de la liberté pointe à l'horizon pour les hommes libres et que le maillet de la justice menace les criminels. M. Rifi a adressé un vibrant hommage à M. Eido dont voici quelques passages :« Les criminels ont fait exploser leur haine et leur rancœur...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut