Il y a un an, le président Michel Sleiman quittait le palais de Baabda au terme de son mandat, respectant ainsi la Constitution. Depuis, une quarantaine de députés s'obstinent à entraver l'élection d'un président, mettant en danger le système politique et les fragiles équilibres libanais.
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Ce forcing constitutionnel que le 14 Mars n'ose pas...
Une semaine, un thème #6 : la présidentielle, otage des voracités (avec les tribunes de Michel Sleiman et Emile Lahoud)
Douze variations autour d'un fauteuil vide, paroles d'artistes
Notre micro-trottoir vidéo : Un an sans président : Ce qu'en pensent les Libanais
Repère
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Raï : La seule issue à la vacance présidentielle est de s'en remettre à la Constitution
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Une question ouverte aux quatre députés kesrouanais Farid Elias Khazen, Youssef Khalil, Neemtallah Abi-Nasr et Gilberte Zouein, élus avec 51,59% des suffrages lors des élections de 2009. Etes-vous sûrs, que les Kesrouanais vous avaient accordé leurs voix pour boycotter le Parlement depuis un an ainsi que pour faire obstruction à l'élection du Président maronite de la République ?
15 h 55, le 25 mai 2015