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Liban

Sleiman : Le principe de l’indépendance, c’est le refus de tout suivisme

L’un des relayeurs remettant le drapeau libanais au président Sleiman. Photo Dalati et Nohra

Le chef de l'État, Michel Sleiman, a souhaité que l'indépendance du Liban signifie, « en réalité, se débarrasser de tout suivisme » par rapport à des pays étrangers « et de l'intérieur » ; que cette indépendance « s'incarne dans la véritable démocratie, dans l'alternance ».
Le président Sleiman, qui recevait les coureurs du traditionnel relais de l'indépendance entre Rachaya et Baabda, s'est notamment adressé aux jeunes, leur demandant de « privilégier l'intérêt national » et de « ne pas servir de matière première à des zaïms uniquement soucieux de leurs intérêts personnels ».
Il a également insisté sur le fait que la déclaration de Baabda « complète et renforce » la Charte nationale et l'indépendance du Liban : « Tout cela s'inscrit dans le cadre de la Constitution, qui fait l'unanimité parmi nous et que nous sommes forcés de respecter », a affirmé M. Sleiman, appelant à sacraliser l'unité nationale, le dialogue, la culture et la connaissance.
« Les tensions en Syrie exigent de nous davantage de solidarité et d'unité. Et n'oubliez pas les fermes de Chebaa et les collines de Kfarchouba, toujours occupées. Rien ne justifie nos diversions. Restons dans l'émulation, mais gardons en tête l'urgence de l'unité nationale », a insisté M. Sleiman.

Le chef de l'État, Michel Sleiman, a souhaité que l'indépendance du Liban signifie, « en réalité, se débarrasser de tout suivisme » par rapport à des pays étrangers « et de l'intérieur » ; que cette indépendance « s'incarne dans la véritable démocratie, dans l'alternance ».Le président Sleiman, qui recevait les coureurs du traditionnel relais de l'indépendance entre...
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