Et d’ironiser : « Il semblerait que sayyed Hassan ait fourni un gros effort oratoire pour justifier son implication dans tout cela, pour embellir les objectifs politiques liés à sa participation à la guerre en Syrie en utilisant la douleur des hommes blessés dans la confrontation avec Israël. Sauf que sayyed Hassan n’a pas eu de chance et rien ne peut cacher les crimes que son parti contribue à commettre », dénonçant l’allusion de M. Nasrallah aux prétendus combattants du courant du Futur enterrés, selon lui, en Syrie. « Ces propos sont nés de l’imagination fertile de sayyed Hassan », a insisté M. Hariri, rappelant sa solidarité « totale » avec le peuple de Syrie.
Et de poursuivre : « Qui a mandaté sayyed Hassan pour défendre le Liban à partir de la Syrie ? A-t-il demandé la tenue d’un Conseil des ministres pour demander si le Liban a réellement besoin de se défendre au-dessus des terres syriennes ? A-t-il demandé son avis au président de la République ? Comme d’habitude, sayyed Hassan a décidé de prouver à quel point il se moque royalement de l’État et de ses institutions, auxquels il a substitué, comme d’habitude, le Conseil d’État du Hezbollah », a asséné l’ancien PM, dénonçant avec virulence « l’identité iranienne du parti et de ses référents ».
commentaires (4)
en principe c'est dieu qui la mandaté ... ! puisqu'il est en direct avec lui ...malgré les jaloux de toutes les autres religions...
M.V.
20 h 58, le 16 juin 2013