Délégué par le patriarche Raï, l’archevêque maronite de Beyrouth, Boulos Matar, a rencontré hier le ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, avec lequel il a fait le point du processus qui pourrait conduire à l’adoption d’une nouvelle loi électorale.
Le siège patriarcal de Bkerké est d’autant plus attaché à l’adoption d’une nouvelle loi qu’il a rejetée dos à dos, au terme de deux prises de position différentes, la loi électorale de 1960, en vigueur actuellement, et le fameux « projet de loi orthodoxe » jugé contraire à la Constitution par le chef de l’État, et donc ne bénéficiant pas de l’unanimité requise aux yeux de Bkerké.
« Nous continuons à chercher la bonne formule pour une loi électorale combinant scrutin majoritaire et propositionnel », a affirmé Mgr Matar en quittant.
Le siège patriarcal de Bkerké est d’autant plus attaché à l’adoption d’une nouvelle loi qu’il a rejetée dos à dos, au terme de deux prises de position différentes, la loi électorale de 1960, en vigueur actuellement, et le fameux « projet de loi orthodoxe » jugé contraire à la Constitution par le chef de l’État, et donc ne bénéficiant pas de l’unanimité requise aux yeux de Bkerké.
« Nous continuons à chercher la bonne formule pour une loi électorale combinant scrutin majoritaire et propositionnel », a affirmé Mgr Matar en quittant.
Délégué par le patriarche Raï, l’archevêque maronite de Beyrouth, Boulos Matar, a rencontré hier le ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, avec lequel il a fait le point du processus qui pourrait conduire à l’adoption d’une nouvelle loi électorale.Le siège patriarcal de Bkerké est d’autant plus attaché à l’adoption d’une nouvelle loi qu’il a rejetée dos à dos, au...