L’annonce de l’implication du Hezbollah dans l’attentat de Burgas, qui avait provoqué la mort de cinq Israéliens et d’un Bulgare en juillet 2012, a été qualifiée de « complot » par les milieux proches du parti de Dieu, d’autant que les États-Unis en ont profité pour mettre la pression sur la responsable de la Sécurité et des Affaires étrangères au sein de l’UE, Catherine Ashton, afin de classer le Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes.
Au Liban, l’annonce immédiate par le Premier ministre Nagib Mikati de sa volonté de coopérer avec les autorités bulgares a été suivie hier par une déclaration du ministre du Travail Sélim Jreissati, affirmant que « le Liban n’a toujours pas été notifié officiellement » de l’accusation dirigée par l’État bulgare contre le Hezbollah dans l’affaire Burgas, « qui est d’ailleurs toujours au stade de l’instruction ». De son côté, le député du bloc du Changement et de la Réforme Farid el-Khazen a estimé que « les accusations dirigées contre le Hezbollah dans l’affaire Burgas sont purement politiques », estimant que « les détails de l’enquête restent de l’ordre des spéculations ».
« Les deux accusés aujourd’hui à Beyrouth »
Il reste que le quotidien français Le Figaro a révélé dans son édition de jeudi des détails sur le rapport secret de la Commission nationale de sécurité bulgare qui a conclu à la responsabilité du Hezbollah dans l’attentat.
Selon le journal, trois hommes seraient responsables de l’attentat, « Jacque Filipe Martin, Ralph William Rico et Brian Jameson, deux jeunes Canadiens et un Australien ».
Le prénommé Jacque Filipe Martin a péri dans l’attentat et a été identifié par des traces ADN ; ses deux complices « sont repartis, via un autre pays européen, vers le Liban dont ils sont tous originaires », poursuit Le Figaro.
Selon le journal, un responsable policier bulgare aurait affirmé après l’annonce de l’implication du Hezbollah que « toutes les pistes mènent à Beyrouth ».
Selon Le Figaro, des transferts d’argent en provenance du Liban avaient « pour destinataire le porteur du passeport australien du trio, que les enquêteurs considèrent comme l’artificier du groupe ». De plus, les faux documents (permis de conduire) que possédaient les suspects auraient été fabriqués dans un atelier libanais « bien connu » par les autorités.
Le journal révèle également que les enquêteurs bulgares disposeraient d’une photo d’un des proches de l’un des complices, aux côtés de membres du Hezbollah.
Les trois terroristes présumés seraient arrivés en Bulgarie après avoir transité par trois autres pays européens, « mais leur point de départ était Beyrouth, où, selon le patron de l’antigang de Sofia, Stanimir Florov, les deux survivants se trouvent aujourd’hui ».
Notons que l’ambassadeur d’Iran en Bulgarie, Gholamreza Bagheri, a nié hier à Sofia toute implication iranienne dans l’attentat de Burgas.
Au Liban, l’annonce immédiate par le Premier ministre Nagib Mikati de sa volonté de coopérer avec les autorités bulgares a été suivie hier par une déclaration du ministre du Travail Sélim Jreissati, affirmant que « le Liban n’a toujours pas été notifié officiellement » de l’accusation dirigée par l’État bulgare contre le Hezbollah dans l’affaire Burgas, « qui est d’ailleurs toujours au stade de l’instruction ». De son côté, le député du bloc du Changement et de la Réforme Farid el-Khazen a estimé que « les accusations dirigées contre le Hezbollah dans l’affaire Burgas sont purement politiques », estimant que « les détails de l’enquête restent de l’ordre des spéculations ».
« Les deux accusés aujourd’hui à Beyrouth »
Il reste que le quotidien français Le Figaro a révélé dans son édition de jeudi des détails sur le rapport secret de la Commission nationale de sécurité bulgare qui a conclu à la responsabilité du Hezbollah dans l’attentat.
Selon le journal, trois hommes seraient responsables de l’attentat, « Jacque Filipe Martin, Ralph William Rico et Brian Jameson, deux jeunes Canadiens et un Australien ».
Le prénommé Jacque Filipe Martin a péri dans l’attentat et a été identifié par des traces ADN ; ses deux complices « sont repartis, via un autre pays européen, vers le Liban dont ils sont tous originaires », poursuit Le Figaro.
Selon le journal, un responsable policier bulgare aurait affirmé après l’annonce de l’implication du Hezbollah que « toutes les pistes mènent à Beyrouth ».
Selon Le Figaro, des transferts d’argent en provenance du Liban avaient « pour destinataire le porteur du passeport australien du trio, que les enquêteurs considèrent comme l’artificier du groupe ». De plus, les faux documents (permis de conduire) que possédaient les suspects auraient été fabriqués dans un atelier libanais « bien connu » par les autorités.
Le journal révèle également que les enquêteurs bulgares disposeraient d’une photo d’un des proches de l’un des complices, aux côtés de membres du Hezbollah.
Les trois terroristes présumés seraient arrivés en Bulgarie après avoir transité par trois autres pays européens, « mais leur point de départ était Beyrouth, où, selon le patron de l’antigang de Sofia, Stanimir Florov, les deux survivants se trouvent aujourd’hui ».
Notons que l’ambassadeur d’Iran en Bulgarie, Gholamreza Bagheri, a nié hier à Sofia toute implication iranienne dans l’attentat de Burgas.
L’annonce de l’implication du Hezbollah dans l’attentat de Burgas, qui avait provoqué la mort de cinq Israéliens et d’un Bulgare en juillet 2012, a été qualifiée de « complot » par les milieux proches du parti de Dieu, d’autant que les États-Unis en ont profité pour mettre la pression sur la responsable de la Sécurité et des Affaires étrangères au sein de l’UE,...
On nous donne trop d'importance, Beyrouth prend la place de Rome, et les terroristes avec des noms yanky , blonds aux yeux bleues, et qui vivent au Liban auprès du hezb réistant ??? mais je ne les croyais pas aussi balaises nos résistants; mais alors les amis gardez votre nom bien oriental ne le changez plus lorsqu'on vous aura donné la nationnalité de votre pays d'origine !! c'est d'un cafouillis ce truc ; Next please !!
06 h 03, le 09 février 2013