Le valet étant historiquement un servant galant du roi, il est difficile d’imaginer que les personnes qui prennent en charge notre voiture devant un restaurant ou une boîte de nuit soient des servants galants.
Quant au mot parking, il n’est pas certain que son emploi soit adéquat puisque la plupart des voitures sont garées sur les trottoirs ou pire au milieu de la rue, et rarement dans ce qui ressemble à un stationnement plus ou moins décent.
En considérant l’état de notre propriété au retour, on serait plutôt tenté de dire voiture en panne.
Le plus problématique dans ce que j’appellerai personnellement « association de malfaiteurs », c’est quand on porte atteinte à votre liberté en vous imposant les VP.
Quand on se gare dans un stationnement public, on tombe souvent sur un valet parking qui, à des kilomètres, se dirige comme une furie vers vous pour vous demander où vous allez, destination que vous n’avez pas forcément envie de partager avec un inconnu.
Le comble est que souvent on culpabilise et on finit par se demander si on porte atteinte aux droits de quelqu’un en se garant légitimement à proximité de son domicile. On a beau scruter à gauche à droite, parfois même en haut, en bas, tout est désert.
En effet, le restaurant ou la boîte concernés se trouvent à plusieurs pâtés de maisons de votre lieu de stationnement, mais le VP insiste avec désinvolture à investiguer sur votre destination et vous finissez par lui indiquer poliment votre lieu de résidence qui se trouve à mille lieues de l’activité de son employeur.
Vous comprendrez finalement que vous avez affaire à un réseau quasi mafieux, ou que vous menez une discussion avec un sans-papiers, et que toute cette argumentation est insensée, qu’elle n’a aucun bien-fondé et qu’on a fini par nous priver de nos droits de stationner dans un endroit public.
Message à tous les employeurs : vos employés, du plus grand chef cuisinier au voiturier, reflètent parfaitement l’image de votre compagnie.
Merci de les former tout d’abord à la conduite des voitures et, si possible, à la conduite sociale.
Avec un grand respect aux voituriers qui se respectent.
Quant au mot parking, il n’est pas certain que son emploi soit adéquat puisque la plupart des voitures sont garées sur les trottoirs ou pire au milieu de la rue, et rarement dans ce qui ressemble à un stationnement plus ou moins décent.
En considérant l’état de notre propriété au retour, on serait plutôt tenté de dire voiture en panne.
Le plus problématique dans ce que j’appellerai personnellement « association de malfaiteurs », c’est quand on porte atteinte à votre liberté en vous imposant les VP.
Quand on se gare dans un stationnement public, on tombe souvent sur un valet parking qui, à des kilomètres, se dirige comme une furie vers vous pour vous demander où vous allez, destination que vous n’avez pas forcément envie de partager avec un inconnu.
Le comble est que souvent on culpabilise et on finit par se demander si on porte atteinte aux droits de quelqu’un en se garant légitimement à proximité de son domicile. On a beau scruter à gauche à droite, parfois même en haut, en bas, tout est désert.
En effet, le restaurant ou la boîte concernés se trouvent à plusieurs pâtés de maisons de votre lieu de stationnement, mais le VP insiste avec désinvolture à investiguer sur votre destination et vous finissez par lui indiquer poliment votre lieu de résidence qui se trouve à mille lieues de l’activité de son employeur.
Vous comprendrez finalement que vous avez affaire à un réseau quasi mafieux, ou que vous menez une discussion avec un sans-papiers, et que toute cette argumentation est insensée, qu’elle n’a aucun bien-fondé et qu’on a fini par nous priver de nos droits de stationner dans un endroit public.
Message à tous les employeurs : vos employés, du plus grand chef cuisinier au voiturier, reflètent parfaitement l’image de votre compagnie.
Merci de les former tout d’abord à la conduite des voitures et, si possible, à la conduite sociale.
Avec un grand respect aux voituriers qui se respectent.
Le valet étant historiquement un servant galant du roi, il est difficile d’imaginer que les personnes qui prennent en charge notre voiture devant un restaurant ou une boîte de nuit soient des servants galants. Quant au mot parking, il n’est pas certain que son emploi soit adéquat puisque la plupart des voitures sont garées sur les trottoirs ou pire au milieu de la rue, et...
commentaires (1)
Si nous avions un service Metro sur des piliers de beton je serai le premier a me débarassé de ma voiture. mais, non, on est obligé de conduire et de s'en taper toutes les choses qui viennent avec, les chauffards, les nids de poules, les rues non éclairees et surout les suprises des travaux signalées une fois que c'est deja trop tard pour freiner.
Eddy
11 h 22, le 02 janvier 2013