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Politique - Éclairage

Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat

En amont du sommet arabe de Manama et de la conférence de Bruxelles, Damas appelle Beyrouth à « ne pas faire d'engagements » sans coordination au préalable.

Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat

Abdallah Bou Habib, le ministre libanais sortant des Affaires étrangères, reçu à Damas par Bachar el-Assad, le 8 février 2023. Photo SANA/AFP

La Syrie prend le devant et pose ses conditions. À la veille de la tenue de deux évènements majeurs et relatifs à la crise migratoire, une missive dugouvernement syrien au gouvernement libanais – qui y a répondu – montre clairement la volonté de...
La Syrie prend le devant et pose ses conditions. À la veille de la tenue de deux évènements majeurs et relatifs à la crise migratoire, une missive dugouvernement syrien au gouvernement libanais – qui y a répondu – montre clairement la volonté de...
commentaires (15)

POUTINE A GAGNE EN SYRIE... JUSQU,A MAINTENANT...

LA LIBRE EXPRESSION

21 h 23, le 14 mai 2024

Tous les commentaires

Commentaires (15)

  • POUTINE A GAGNE EN SYRIE... JUSQU,A MAINTENANT...

    LA LIBRE EXPRESSION

    21 h 23, le 14 mai 2024

  • Je rappelle un autre air connu, mais ce n’est pas le même cas de figure, chanté durant des décennies au Liban : renvoyer les réfugiés palestiniens chez eux. Comment ça chez eux ? C’est toujours le pouvoir en place qui n’en veut pas. Bachar cherche une légitimité, en protecteur d’abord des minorités, et actuellement ses propres réfugiés. On n’est plus devant un choix de priorités : le départ d’Assad d’abord, pour négocier ensuite le retour des réfugiés. Renvoyer les réfugiés, au risque leurs vie, c’est maintenir le régime baasiste pour perpétuer la guerre…

    NABIL

    18 h 56, le 14 mai 2024

  • La problématique des réfugiés est un sujet avec lequel je ne peux pas garder mon calme. COMPRIS ! On ne renvoie pas chez eux, dans des zones supposées sûres, des hommes, femmes et enfants qui ont fui sous des barils de poudre. Je me répète, et les leçons de l’histoire sont là. Renvoyer les réfugiés, est un air tellement chanté de la deuxième guerre mondiale jusqu’à nos jours. On ne livre pas les réfugiés à leurs bourreaux pour des raisons économiques qu'ils soient soient Hitler, franco et autre Staline ou Poutine au nom de je ne sais quelle raison raisons économiques ou politique.

    NABIL

    18 h 44, le 14 mai 2024

  • IL NE VEUT PAS D,EUX. ILS NE VEULENT PAS DE LUI. QUI CREA LA CRISE SYRIENNE ? OCCIDENTAUX, TURCS ET ARABES. DANS DES NAVIRES ET DES BARQUES EN EUROPE ET TURQUIE, ET EN BUS AUX PAYS ARABES.

    LA LIBRE EXPRESSION

    16 h 49, le 14 mai 2024

  • Bachar est le seul qui reglera le problème , ne cherchez pas ailleurs , et oubliez vos rancunes et vos rancoeurs si vous voulez vraiment vous débarrasser de ces réfugiés . Il n'y a pas d'autre solution , écoutez-le , ne rêvez plus ! Il est déjà assez tard !

    Chucri Abboud

    14 h 13, le 14 mai 2024

  • ""…l’existence de plusieurs régions « désormais sécurisées en Syrie »"". Mais qui assure la sécurité de ces régions ? Si le pouvoir syrien le prétend, cela pose un problème de confiance des réfugiés traumatisés par la violence de ce même pouvoir. Cela voudrait dire aussi que leur retour est un préalable à la reconstruction du pays, une façon de mettre la charrue devant les bœufs. Personne, à part quelques irréductibles, ne veut d’Assad. Jamais le fier peuple syrien n’en veut ! Mais le choix d’une porte de sortie par le Liban et non pas par la Turquie ou autre pays en dit long…

    NABIL

    12 h 22, le 14 mai 2024

  • Qui dit que ce général fera mieux que les précédents? J’ai des doutes.

    Sissi zayyat

    12 h 19, le 14 mai 2024

  • Lire SVP. « il continue de jouer à l’enfant gâté ». Merci.

    Sissi zayyat

    12 h 18, le 14 mai 2024

  • Des nuances plutôt que des parallélismes : le pouvoir syrien, le Hamas et notre cher Hezb. Ils s’imposent non pas par des forces occultes, ni par une légitimité. Ça m’étonne : 1- que les Syriens soutiennent un régime qui les bombarde, et 2- que les Gazaouis votent en grand nombre pour le Hamas, (je suis naïf, marhaba élections), et 3- que l’ensemble des Libanais adhèrent aux thèses du Hezb. Hamas et le Hezb bénéficient d’une certaine popularité loin de l’épicentre du conflit, alors que M. Assad ne bénéficie d’une popularité (à part quelques irréductibles) ni à l’interne ni à l’international.

    NABIL

    12 h 08, le 14 mai 2024

  • Le petit Bachar est devenu grand. Grand par la taille uniquement et il continue de jouer à l’école tant pourri a qui on cède tout, jusqu’à ce que, un de ces pays puissants lui donne une bonne raclée afin qu’il cesse de crier plus fort pour qu’on cède à ses caprices. Voilà tout.

    Sissi zayyat

    11 h 51, le 14 mai 2024

  • Bien qu’il soit en grande partie responsable du désastre de son pays et du départ des réfugié, e pouvoir syrien ne doute pas un instant de lui-même. Comme si rien (sans jeu de mots) n’était, des menaces à peine voilées par des missives soulignant les ""intentions hostiles"", montrent une même manière de discuter avec les Libanais comme ""au bon vieux temps"". En cherchant à prendre de la hauteur, Assad veut s’assurer le seul rôle du retour des réfugiés (qui n’est pas pour demain) et de la reconstruction du pays. Il est dit jusqu’à présent que tout se fera sans lui… On verra.

    NABIL

    11 h 46, le 14 mai 2024

  • Voilà comment on laisse un assassin devenir un dictateur qui impose ses règles dans le monde. Plus gonflé tu meurs, et ça n’est pas de sa sa faute. Les occidentaux et les américains continuent de céder à ses menaces de les inonder de son peuple chassé par ses soins pour pouvoir le monnayer contre des conditions intolérables et aucun d’eux n’ose lui montrer ses limites. Tous les dictateurs en herbes se voient dominer le monde à cause de la lâcheté des pays civilisés qui ne veulent pas les affronter une fois pour toute pour retrouver un semblant de cohérence dans le monde actuel. A qui mieux mi

    Sissi zayyat

    11 h 34, le 14 mai 2024

  • Bien sûr qu'il faut coordonner avec le boucher, il voudra partager la manne financière pour continuer à vivre tranquillement et continuer comme dans les anciens temps où il a pillé le Liban.

    Zeidan

    09 h 59, le 14 mai 2024

  • Faut pas rêver ! Les occidentaux r~ent trop , mais ils sont pris à leur propre piége . Bachar assez émontré qu'il est populaire chez lui et indélogeable , et les réfugiés syriens contemplant la possibilité d'émigrer à tout prix , même en tant que boat people , vers l'Europe inquiètent l'Occident ! Pour une fois écoutons les doléances de Bachar et débarrassons nous enfin de ces réfugiés qui nous collent dessus de plus en plus dangereusement . Bachar a gagné , il faut le reconnaître .

    Chucri Abboud

    00 h 37, le 14 mai 2024

  • "… le fait d’avoir été écarté de la conférence de Bruxelles, un acte « qui recèle des intentions hostiles », selon Damas …" - Moins que de bombarder Zahlé et Achrafieh pendant cent jours, et de piller la moitié du Metn, non?

    Gros Gnon

    00 h 22, le 14 mai 2024

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