Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a accusé hier le régime syrien de Bachar el-Assad d’être derrière l’attentat à la voiture piégée qui a secoué jeudi le sud de la Turquie.
« L’explosion entre dans le cadre des menaces du régime syrien de déstabiliser les pays de la région dans le but de détourner l’attention de la révolution syrienne et de se venger du soutien turc à la révolte », a déclaré M. Joumblatt dans un communiqué.
Quatre personnes ont été blessées jeudi dans l’explosion d’une voiture devant une caserne de l’armée dans le district d’Iskenderun dans la province de Hatay, près de la frontière syrienne.
La Turquie abrite sur son territoire quelque 108 000 réfugiés syriens répartis dans plusieurs camps le long de la frontière avec la Syrie. Des dirigeants de l’opposition au régime de Damas et des responsables militaires ayant fait défection se sont exilés en Turquie.
Démenti sur Khaddam
Par ailleurs, le PSP a démenti dans un communiqué les informations publiées dans le quotidien al-Akhbar hier sur les détails d’une soi-disant conversation téléphonique entre le député Walid Joumblatt et l’ancien vice-président syrien Abdel Halim Khaddam. « Il n’y a eu aucun contact de ce genre, sinon nous en aurions fait une déclaration officielle », a précisé le communiqué du PSP. « Tout ce qui a été évoqué dans l’article est le pur résultat de l’imagination, fertile et plaisante, de son auteur, ni plus ni moins », a ajouté le démenti.
Le PSP a confirmé en revanche les informations sur l’appel téléphonique du député Walid Joumblatt au responsable de coordination au sein du Hezbollah Wafiq Safa. Le PSP a précisé que Walid Joumblatt a voulu, par cet appel, « transmettre ses vœux au secrétaire général du Hezbollah à l’occasion de la fête de l’Adha ».
« L’explosion entre dans le cadre des menaces du régime syrien de déstabiliser les pays de la région dans le but de détourner l’attention de la révolution syrienne et de se venger du soutien turc à la révolte », a déclaré M. Joumblatt dans un communiqué.
Quatre personnes ont été blessées jeudi dans l’explosion d’une voiture devant une caserne de l’armée dans le district d’Iskenderun dans la province de Hatay, près de la frontière syrienne.
La Turquie abrite sur son territoire quelque 108 000 réfugiés syriens répartis dans plusieurs camps le long de la frontière avec la Syrie. Des dirigeants de l’opposition au régime de Damas et des responsables militaires ayant fait défection se sont exilés en Turquie.
Démenti sur Khaddam
Par ailleurs, le PSP a démenti dans un communiqué les informations publiées dans le quotidien al-Akhbar hier sur les détails d’une soi-disant conversation téléphonique entre le député Walid Joumblatt et l’ancien vice-président syrien Abdel Halim Khaddam. « Il n’y a eu aucun contact de ce genre, sinon nous en aurions fait une déclaration officielle », a précisé le communiqué du PSP. « Tout ce qui a été évoqué dans l’article est le pur résultat de l’imagination, fertile et plaisante, de son auteur, ni plus ni moins », a ajouté le démenti.
Le PSP a confirmé en revanche les informations sur l’appel téléphonique du député Walid Joumblatt au responsable de coordination au sein du Hezbollah Wafiq Safa. Le PSP a précisé que Walid Joumblatt a voulu, par cet appel, « transmettre ses vœux au secrétaire général du Hezbollah à l’occasion de la fête de l’Adha ».
Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a accusé hier le régime syrien de Bachar el-Assad d’être derrière l’attentat à la voiture piégée qui a secoué jeudi le sud de la Turquie.« L’explosion entre dans le cadre des menaces du régime syrien de déstabiliser les pays de la région dans le but de détourner l’attention de la révolution syrienne et de se...