Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a exprimé hier l’opposition de son parti au déploiement de troupes internationales à la frontière libano-syrienne, comme le réclame le 14 Mars en vue d’aider l’armée libanaise à contrôler la frontière.
Cheikh Kassem, qui s’exprimait lors d’une cérémonie organisée par une association caritative, a déclaré : « Sans la majorité, le Liban aurait sombré dans le chaos du fait du comportement du 14 Mars qui tente d’utiliser le Liban comme une rampe de lancement du projet américano-israélien contre la Syrie et son peuple. »
Selon lui, « les tensions que connaît le Liban-Nord sont dues au fait qu’ils (le 14 Mars) se livrent au trafic d’armes à destination de la Syrie, donnent l’abri à des éléments armés syriens et tentent d’entraîner le Liban dans la guerre civile ».
« Mais en dépit de tout cela, ils ont été incapables d’entraîner le Liban à cause de la constance de la majorité, qui rejette l’utilisation du Liban comme théâtre pour la mise en œuvre des projets étrangers », a-t-il ajouté.
« Et lorsqu’ils ont perdu les moyens de peser sur l’équation syrienne, ils ont commencé à lancer des projets suspects, comme la venue de troupes internationales au Liban-Nord. Ils ont besoin de ces troupes pour les aider à mettre en place des zones-tampons et faire du Liban une rampe de lancement », a-t-il dit.
« Le Hezbollah refuse que le Liban s’ingère dans les affaires syriennes. Il rejette de manière catégorique le déploiement de troupes internationales à la frontière nord. Il s’agit d’un projet sioniste par excellence et destiné à détruire tant le Liban que la Syrie », a poursuivi cheikh Kassem.
« Il suffirait que le 14 Mars cesse de faire œuvre de sabotage au Liban-Nord pour que la stabilité revienne dans cette région », a encore dit le numéro deux du Hezbollah, appelant à « laisser le peuple syrien décider de ses options intérieures par le dialogue et la coopération, loin de toute intervention étrangère ».
Cheikh Kassem, qui s’exprimait lors d’une cérémonie organisée par une association caritative, a déclaré : « Sans la majorité, le Liban aurait sombré dans le chaos du fait du comportement du 14 Mars qui tente d’utiliser le Liban comme une rampe de lancement du projet américano-israélien contre la Syrie et son peuple. »
Selon lui, « les tensions que connaît le Liban-Nord sont dues au fait qu’ils (le 14 Mars) se livrent au trafic d’armes à destination de la Syrie, donnent l’abri à des éléments armés syriens et tentent d’entraîner le Liban dans la guerre civile ».
« Mais en dépit de tout cela, ils ont été incapables d’entraîner le Liban à cause de la constance de la majorité, qui rejette l’utilisation du Liban comme théâtre pour la mise en œuvre des projets étrangers », a-t-il ajouté.
« Et lorsqu’ils ont perdu les moyens de peser sur l’équation syrienne, ils ont commencé à lancer des projets suspects, comme la venue de troupes internationales au Liban-Nord. Ils ont besoin de ces troupes pour les aider à mettre en place des zones-tampons et faire du Liban une rampe de lancement », a-t-il dit.
« Le Hezbollah refuse que le Liban s’ingère dans les affaires syriennes. Il rejette de manière catégorique le déploiement de troupes internationales à la frontière nord. Il s’agit d’un projet sioniste par excellence et destiné à détruire tant le Liban que la Syrie », a poursuivi cheikh Kassem.
« Il suffirait que le 14 Mars cesse de faire œuvre de sabotage au Liban-Nord pour que la stabilité revienne dans cette région », a encore dit le numéro deux du Hezbollah, appelant à « laisser le peuple syrien décider de ses options intérieures par le dialogue et la coopération, loin de toute intervention étrangère ».
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a exprimé hier l’opposition de son parti au déploiement de troupes internationales à la frontière libano-syrienne, comme le réclame le 14 Mars en vue d’aider l’armée libanaise à contrôler la frontière.Cheikh Kassem, qui s’exprimait lors d’une cérémonie organisée par une association caritative, a déclaré :...
Les chiens de garde du "Machin" on les accepte entre nous et nos ennemis et non pas entre nous et nos frères. D'ailleurs, La Finul qui protège les sionistes au sud n'en a à mon avis plus pour très longtemps!
09 h 57, le 01 septembre 2012