Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a maintenu hier le flou sur les intentions de sa formation au sujet des dossiers qui divisent le gouvernement, en particulier celui du financement du Tribunal spécial pour le Liban. Se refusant à toute précision, il a néanmoins maintenu une tonalité élevée au sujet des injonctions de la communauté internationale.
« On cherche à nous intimider, on nous dit que l’Amérique accepterait ceci et n’accepterait pas cela. Si nous acceptons quelque chose nous-mêmes, l’Amérique finira malgré elle par l’accepter elle aussi, car nous sommes des gens qui prennent des décisions pour leur pays la tête haute. Nous ne serons pas des instruments et nous n’entendrons pas ce que dit l’Amérique. Nous entendrons ce que disent nos compatriotes et ce que nous impose l’intérêt du Liban », a déclaré cheikh Kassem lors d’une cérémonie estudiantine.
« Nous avons pris la décision de ne pas répondre à de nombreuses déclarations et d’ajourner les vraies réponses. Nous nous exprimerons en temps opportun, car nous ne voulons pas être entraînés là où les autres veulent nous prendre », a-t-il ajouté.
« Ce gouvernement, au sein duquel nous sommes présents, se doit d’examiner les revendications sociales avec sagesse, responsabilité et équité », a par ailleurs lancé cheikh Kassem, indiquant, là aussi, que le Hezbollah ne se prononcera sur le projet de budget que lorsque celui-ci lui sera transmis officiellement par la voie du Conseil des ministres.
« Nous voulons discuter tranquillement. C’est pourquoi nous invitons le gouvernement à bien exploiter le prestige dont il jouit, car il bénéficie d’une large représentativité chez les Libanais », a-t-il encore dit.
« On cherche à nous intimider, on nous dit que l’Amérique accepterait ceci et n’accepterait pas cela. Si nous acceptons quelque chose nous-mêmes, l’Amérique finira malgré elle par l’accepter elle aussi, car nous sommes des gens qui prennent des décisions pour leur pays la tête haute. Nous ne serons pas des instruments et nous n’entendrons pas ce que dit l’Amérique. Nous entendrons ce que disent nos compatriotes et ce que nous impose l’intérêt du Liban », a déclaré cheikh Kassem lors d’une cérémonie estudiantine.
« Nous avons pris la décision de ne pas répondre à de nombreuses déclarations et d’ajourner les vraies réponses. Nous nous exprimerons en temps opportun, car nous ne voulons pas être entraînés là où les autres veulent nous prendre », a-t-il ajouté.
« Ce gouvernement, au sein duquel nous sommes présents, se doit d’examiner les revendications sociales avec sagesse, responsabilité et équité », a par ailleurs lancé cheikh Kassem, indiquant, là aussi, que le Hezbollah ne se prononcera sur le projet de budget que lorsque celui-ci lui sera transmis officiellement par la voie du Conseil des ministres.
« Nous voulons discuter tranquillement. C’est pourquoi nous invitons le gouvernement à bien exploiter le prestige dont il jouit, car il bénéficie d’une large représentativité chez les Libanais », a-t-il encore dit.
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a maintenu hier le flou sur les intentions de sa formation au sujet des dossiers qui divisent le gouvernement, en particulier celui du financement du Tribunal spécial pour le Liban. Se refusant à toute précision, il a néanmoins maintenu une tonalité élevée au sujet des injonctions de la communauté internationale.« On...
Kamel, à quatre pas d'ici, je te le fais savoir ... Anastase Tsiris
15 h 52, le 09 octobre 2011