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En Suède, le courrier du Père Noël est une affaire sérieuse Des boîtes aux lettres rouges réservées au Père Noël sont en place en Suède, prêtes à recueillir le courrier des enfants qui sont assurés de recevoir une réponse et même plus, a indiqué samedi la poste suédoise, Posten. « Nous avons installé ces boîtes dans quatre villes du pays. Elles sont spécialement réservées au courrier du Père Noël », a expliqué Eva Appelgren, une porte-parole de Posten. Une fois recueillies et lues par une équipe des services postaux, les missives recevront toutes, sans exception, une réponse et un petit cadeau, assure Mme Appelgren. Depuis des années, la poste suédoise met un point d’honneur à répondre au courrier des enfants destiné au Père Noël et glissé dans les boîtes ordinaires. D’où l’idée de lui dédier un service spécial pour la première fois cette année. « L’an passé, nous avions reçu 200 000 lettres ! », affirme la porte-parole, concédant que la tâche qui s’annonce est de taille. Les facteurs belges… chronométrés ! La poste belge va chronométrer le temps nécessaire aux facteurs pour mettre et enlever leur casque, afin de déterminer le nombre de boîtes aux lettres qu’ils devront desservir, a rapporté le journal dominical flamand Het Nieuwsblad op Zondag. Jusqu’à présent, les facteurs devaient mettre un casque lorsqu’ils se dirigeaient ou revenaient de leur tournée, mais n’étaient pas obligés de le porter durant la tournée elle-même, explique le journal. Enregistrant une recrudescence du nombre d’accidents parmi les 4 000 facteurs motorisés, la poste a décidé qu’ils devraient porter le casque de manière permanente, y compris durant leur tournée. Or, enlever et remettre le casque, par exemple pour parler avec un client, prend du temps. La poste va donc calculer le temps précis de cette manœuvre et le multiplier par le nombre de fois effectuées par le facteur. À la lumière de ces pertes de temps, il faudra recalculer la longueur de leurs tournées. À 73 ans, elle saute en parachute de 4 000 mètres d’altitude Une Américaine de 73 ans, installée depuis plus de 50 ans au Brésil, a sauté en parachute d’une hauteur de 4 000 mètres samedi et a conseillé à toutes les femmes de son âge de « faire la même chose », a-t-elle raconté. Catherine Cunningham, mère de trois enfants, dix fois grand-mère et déjà une fois arrière-grand-mère, a effectué son grand saut accompagnée par son instructeur après être partie du centre spécialisé de parachutisme, Azul do Vento, à Campinas, à une heure de São Paulo. « Je n’ai pas eu de palpitation, j’adore l’altitude. La chute libre a duré 42 secondes et cela a été sensationnel. Quand le parachute s’est ouvert, je me suis sentie comme une mouette. L’atterrissage a été presque imperceptible », a déclaré la néophyte. « Je fais beaucoup de sport, j’ai appris la plongée, je fais de l’escalade et j’aime beaucoup marcher », a dit la « Golden Mammy ».