L’Iran et la Syrie souhaitent renforcer davantage leur alliance face aux pressions dont ils font l’objet. Cette volonté s’est traduite par la visite officielle de deux jours qu’a entamée hier le président syrien Bachar el-Assad à Téhéran, au lendemain même de l’investiture de son homologue iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Le Liban et, en particulier, le sort des armes du Hezbollah...
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Le désarmement du Hezbollah tributaire du contentieux irano-occidental Le Liban, invité absent du sommet Assad-Ahmadinejad à Téhéran (photo)
le 08 août 2005 à 00h00
L’Iran et la Syrie souhaitent renforcer davantage leur alliance face aux pressions dont ils font l’objet. Cette volonté s’est traduite par la visite officielle de deux jours qu’a entamée hier le président syrien Bachar el-Assad à Téhéran, au lendemain même de l’investiture de son homologue iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Le Liban et, en particulier, le sort des armes du Hezbollah sont naturellement au centre des entretiens syro-iraniens.
À Beyrouth, des sources bien informées soulignent que le désarmement du Hezbollah est tributaire des tractations en cours sur le programme nucléaire iranien.
L’Iran et la Syrie souhaitent renforcer davantage leur alliance face aux pressions dont ils font l’objet. Cette volonté s’est traduite par la visite officielle de deux jours qu’a entamée hier le président syrien Bachar el-Assad à Téhéran, au lendemain même de l’investiture de son homologue iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Le Liban et, en particulier, le sort des armes du Hezbollah...
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