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Il reste encore au Liban des agents syriens et iraniens, affirme Sharon Washington exigeant sur la 1559, mais compréhensif sur les modalités

L’audition organisée hier par la commission des Relations internationales au sein de la Chambre des représentants des États-Unis pour discuter de la question libanaise après le retrait syrien a permis encore une fois à l’Administration américaine de rappeler au Liban ses « obligations internationales, notamment la 1559 ». La question du désarmement du Hezbollah et des camps palestiniens était ainsi au cœur des interventions des responsables US, qui ont cependant tenu en même temps des propos assez conciliants, se déclarant notamment « optimistes » quant à l’avenir du Liban et estimant que ce désarmement était une affaire libanaise. Par contre, la position de plusieurs membres du Congrès connus pour leurs sympathies israéliennes a été beaucoup plus intransigeante, puisqu’ils ont qualifié d’« inacceptable » la participation de la formation chiite au gouvernement Siniora. Par ailleurs, le Premier ministre israélien, Ariel Sharon, en visite actuellement à Paris, a affirmé hier qu’il « reste encore au Liban des agents de la sécurité syrienne, ainsi que des Gardiens de la révolution iranienne ».

L’audition organisée hier par la commission des Relations internationales au sein de la Chambre des représentants des États-Unis pour discuter de la question libanaise après le retrait syrien a permis encore une fois à l’Administration américaine de rappeler au Liban ses « obligations internationales, notamment la 1559 ».
La question du désarmement du Hezbollah et des camps...