L’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman, a déclaré hier que la réunion de Paris, lundi, avait permis de dégager un consensus parmi les ambassadeurs présents (É-U, France, G-B et UE) : « La communauté internationale est prête à aider le Liban, mais à condition qu’il s’engage dans un plan de réformes », a-t-il dit. Car, selon lui, il n’est pas question de réitérer l’expérience de Paris II en offrant une aide financière en échange de simples promesses. Cette fois, il faudra introduire un mécanisme conditionnel. Parmi les conditions, l’ambassadeur a évoqué des réformes « politiques », mais il n’a pas explicitement lié la question du désarmement du Hezbollah à une aide financière éventuelle.
De son côté, l’ambassadeur de France, Bernard Émié, a également indiqué que l’aide internationale est tributaire des réformes.
L’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman, a déclaré hier que la réunion de Paris, lundi, avait permis de dégager un consensus parmi les ambassadeurs présents (É-U, France, G-B et UE) : « La communauté internationale est prête à aider le Liban, mais à condition qu’il s’engage dans un plan de réformes », a-t-il dit. Car, selon lui, il n’est pas question de réitérer...
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