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« L’opposition a peur que le dialogue ne serve de prétexte d’atermoiement », estime Hraoui

Lors d’un entretien à la radio hier, le député Khalil Hraoui a déclaré « comprendre les prises de position confuses de l’opposition à propos du dialogue, de peur que celui-ci ne serve de prétexte d’atermoiement ou de justification d’un retard pour la mise en place d’une nouvelle vision politique ». Mais il a affirmé avoir remarqué chez toutes les parties une volonté sérieuse de dialogue. « La séance parlementaire de lundi sera une occasion de rencontre entre toutes les forces politiques, a-t-il ajouté. Je ne dis pas entre opposition et loyalistes, mais bien entre toutes les parties politiques, qui auront la possibilité de discuter avec le gouvernement de la tragédie qui a frappé le Liban. Pour ma part, je ferai tout mon possible pour que la séance soit productive. » M. Hraoui a considéré que « ces questions doivent être débattues, et c’est par le seul débat que nous pourrons adopter une position commune et l’imposer au pouvoir exécutif, soit en faveur de l’application de l’accord de Taëf, soit pour appeler le comité militaire lié au Conseil supérieur libano-syrien à décider rapidement des modalités de redéploiement de l’armée syrienne au Liban, ou alors à clarifier les raisons du retard ».
Lors d’un entretien à la radio hier, le député Khalil Hraoui a déclaré « comprendre les prises de position confuses de l’opposition à propos du dialogue, de peur que celui-ci ne serve de prétexte d’atermoiement ou de justification d’un retard pour la mise en place d’une nouvelle vision politique ». Mais il a affirmé avoir remarqué chez toutes les parties une volonté...