Rechercher
Rechercher

Hors de l'actu - Hors de l'actu

Nostalgie au Casino du Liban, Georges Khabbaz à la Berlinale et billets de 100.000 L.L : faites un pas hors de l'actu

Cette semaine, suivez-nous aussi dans un sous-sol de Mansourieh où se retrouvent des artistes ou relisez l'histoire de la Cité sportive de Beyrouth, témoin du meilleur comme du pire.

Nostalgie au Casino du Liban, Georges Khabbaz à la Berlinale et billets de 100.000 L.L : faites un pas hors de l'actu

Georges Khabbaz à la première de « Yunan » pendant la 75e édition de la Berlinale, le 19 février 2025. Photo Jens Koch.

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de jeter un œil à une nouvelle exposition ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà.

Ce sous-sol à Mansourieh qui vibre au rythme de la créativité libanaise

Si le Gaumont Palace, centre culturel construit dans les années 1950 sur l’avenue Béchara el-Khoury à Beyrouth, a été détruit par la guerre civile, son esprit a bel et bien survécu. Désormais, c’est à Mansourieh que Helein Karam a donné vie à cette salle de cinéma indépendante. Un espace où les artistes peuvent s’exprimer librement et où les places sont gratuites pour les étudiants. Marguerita Sejaan s’y est rendue.

Ces coupures de 100 000LL, « monnaie de la décomposition », qui s’envolent en quelques battements d’ailes

« Que se passe-t-il lorsque des éléments essentiels à nos vies – comme notre pain, notre monnaie, nos maisons – commencent à s’éroder sous le poids de la crise ? » Avec son cursus en économie, Christine Kettanneh aurait pu répondre à cette question par les chiffres. Mais elle a choisi de mettre en scène, dans une exposition, la volatilité tragique de l’argent libanais et des billets de 100.000 LL. Zéna Zalzal vous raconte ce projet.

La créatrice libanaise Milia M. voyage, notre poids dans ses bagages

Elle a fait partie de cette première génération d’artistes de tous crins rentrés « à la maison » dans l’après-guerre des années 1990, une génération pour qui « tout, au Liban, semblait possible ». Si elle vit aujourd’hui en nomade, Milia M. veut encore croire que « Le Liban est un terreau fertile pour la création». Fifi Abou Dib vous parle de son parcours et de ses nouvelles créations.

La Cité sportive de Beyrouth, des Jeux panarabes de 1957... aux funérailles de Nasrallah

De « première cité sportive du monde arabe » au site des obsèques de l’ex-chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, en passant par l’invasion israélienne de 1982, la Cité sportive de Beyrouth a vécu le meilleur comme le pire. Zeina Antonios a compilé ces évènements qui ont parfois fait trembler les tribunes.

Georges Khabbaz à la Berlinale : J’ai la fierté d’avoir porté mon identité à l’international

À l’affiche de « Yunan », réalisé par Ameer Fakher Eldin et dont la première a eu lieu le 19 janvier dans le cadre de la compétition officielle de la 75e édition du Festival du film de Berlin, Georges Khabbaz revient pour Julie Kebbi sur cette expérience qui lui a beaucoup appris.

Au Casino du Liban, un micro public nostalgique des belles nuits d’antan

Les Libanais seraient de grands nostalgiques. De quoi ? « Du temps où c'était bien », peut-être, et ils le vivent en musique depuis 2014 avec Les Nuits Nostalgie, qui ont accueilli au Casino du Liban des stars autrefois populaires. Comment expliquer cet engouement, et quel est le business model qui fait que cela fonctionne ? Béchara Maroun a recueilli quelques explications.

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de jeter un œil à une nouvelle exposition ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà. Ce sous-sol à Mansourieh qui vibre au rythme de la créativité libanaise Si le Gaumont Palace, centre culturel construit dans les années 1950 sur l’avenue Béchara el-Khoury à Beyrouth, a été détruit par la guerre civile, son esprit a bel et bien survécu. Désormais, c’est à Mansourieh que Helein Karam a donné vie à cette salle de cinéma indépendante. Un espace où les artistes peuvent s’exprimer librement et où les places sont gratuites pour les étudiants. Marguerita Sejaan s’y est rendue.Ces coupures de 100 000LL, « monnaie...
commentaires (0) Commenter

Commentaires (0)

Retour en haut