
Des militants de la communauté LGBTQ+ libanaise participent à une manifestation devant le poste de police de Hbeish, à Beyrouth, le 15 mai 2016. Photo d'archives Anwar Amro/AFP
Des événements, spectacles et conférences sont prévus, mais restent sous embargo. Pour les membres de la communauté, communiquer demeure trop risqué malgré l'ambiance de renouveau qui se diffuse au Liban.
OLJ / Par Raphaël ABDELNOUR, le 01 février 2025 à 16h39
Des militants de la communauté LGBTQ+ libanaise participent à une manifestation devant le poste de police de Hbeish, à Beyrouth, le 15 mai 2016. Photo d'archives Anwar Amro/AFP
Les quelques commentaires paranoiaques témoignent du long chemin qui reste à faire.. au risque de dire une évidence, les 200 km à la ronde dont vous parlez comprennent, en effet, des souffrances pour tous, LGBTQ inclus. Ne hiérarchisons pas la souffrance. Chacun est son propre monde. Et cela va en Occident, en Orient, ou au Liban, carrefour des deux mondes.
Bon Dieu, à 200 kms à la ronde il n'y que souffrance humaine, corps déchiquetés et affamés, et le LGBTQ+ revient en charge pour nous raconter ses problèmes de C....! Non , mais un peu de décence quand même. Nous ne sommes pas en Occident où les sociétés sont arrivées à un niveau de narcissisme et de nombrilisme que seuls les identités et pratiques sexuelles définissent les besoins de l'être humain... nous avons d'autres problèmes existentiels à régler..
Non merci, pas besoin de Wokiste chez nous on a assez de pb
Le wokisme est un poison bien plus dangereux que les armes safavides illégales pour le Liban. En octobre 2019 pendant que les miliciens safavides s’en prenaient au corps de la thawra, le wokisme s’en est pris à son âme et en a fait une thawrette inoffensive pour les premiers. Woke ou patriote, à chacun de choisir !
Les quelques commentaires paranoiaques témoignent du long chemin qui reste à faire.. au risque de dire une évidence, les 200 km à la ronde dont vous parlez comprennent, en effet, des souffrances pour tous, LGBTQ inclus. Ne hiérarchisons pas la souffrance. Chacun est son propre monde. Et cela va en Occident, en Orient, ou au Liban, carrefour des deux mondes.
15 h 56, le 11 mars 2025