
L’affiche de l’atelier d’introduction au « jeu d'impact » qui devait avoir lieu samedi 10 février à KED Beirut. Image fournie avec la courtoisie de Beirut Midnight.
La censure a encore frappé au Liban, avec l’interdiction d’une journée d’introduction à la « sexualité kink » prévue ce week-end à KED Beirut.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 09 février 2024 à 17h11
L’affiche de l’atelier d’introduction au « jeu d'impact » qui devait avoir lieu samedi 10 février à KED Beirut. Image fournie avec la courtoisie de Beirut Midnight.
A quand les billets payants pour assister à la fabrication du captagon et les autres drogues dans les ateliers qui pullulent sur notre sol? C’est aussi pervers que ces prétendues émancipations des mœurs dans notre pays. Le Liban est toujours partant pour expérimenter les trucs les plus louches sous prétexte d’ouverture d’esprit et de modernité. Peut être faut il voir le revers de cette déviance qui consiste à pratiquer la sexualité à outrance pour compenser le deuil et la tristesse de tous les libanais qui voient leur pays mourir à petit feu sans pouvoir agir pour le sauver.
...on n a pas vraiment besoin de cet événement actuellement. le sexe...chez soi. C est perso.
Contre la censure certes mais il est vrai que je ne me vois pas appuyer ce genre de « cause »!!! Las des relations tordues en Europe. Las de voir une justice européenne à 2 vitesse ( ce qui se passe à gaza), las de voir que la norme imposée est celle des marginaux alors que les valeurs familiales et même religieuses sont malmenées… Non à la censure mais Non aux autres « tordus » aussi. Gardons notre pays comme pays des valeurs héritées de nos parents et grand parents. Oui rétrograde, ou vieux jeux , mais ce sont les valeurs de notre pays. Pays de mysticités et de miracles
... engoncé dans ses dogmes religieux rigides. La société libanaise est-elle prête à accueillir ces pratiques initiatiques sous la ceinture qui rendent la fesse rouge et grumeleuse ? J'en doute fortement... et là, pour le coup, suis assez d'accord avec elle...
Malgré tout ce que l'on sait (et ne sait pas) sur les torrides nuits beyrouthines, j'ai quand même du mal à conçevoir une "nuit de la fessée" au pays du Levant, engonçé dans ses dogmes
Quel dommage. Nous voulons vivre dans un Liban où les individus peuvent vivre librement leur orientation sexuelle et choisir librement la manière dont ils veulent vivre leur sexualité.Les autorités montrent une fois de plus leurs idées rétrogrades. Vivement que ces gens soient remplacés par une nouvelle génération qui soit plus ouverte au monde et plus en accord avec son temps.
Il faut se rendre a l'evidence. Nous sommes un pays attarde a tous les sens : politiquement, economiquement, socialement, en matiere de moeurs, en matiere de culture etc... Une poignee d'hommes de religions (diverses d'ailleurs) aux idees moyennageuses font la pluie et le beau temps, meme (surtout ?) en matiere de resistance. Ce pays ne sortira de l'orniere que quand on aura pendu le dernier cure avec les tripes du dernier cheikh.
L'art de s'occuper d'affaires de fesses au lieu de celles du porte-monnaie. Bande de minables.
Ces dégénérés qui veulent influencer la masse par leurs mœurs vicieuses et malsaines, pénétrer le psychisme individuel, une effraction de l'esprit. Ça commence par des spectacles privés, puis ça se répand jusque dans les écoles du pays auprès des plus vulnérables afin d'attiser chez eux, les mêmes mœurs dépravées. Nos enfants subissent ce type de programme en France, aujourd'hui.
La sexualité kink, aussi appelée « kinky sex » en anglais, que l'on peut traduire par « sexualité tordue », et selon un usage en cours, équivalent de BDSM, désigne une sexualité qui sort de l'ordinaire, qui se revendique hors norme, par distinction de la sexualité vanille et socialement acceptable. Wikipédia
A quand les billets payants pour assister à la fabrication du captagon et les autres drogues dans les ateliers qui pullulent sur notre sol? C’est aussi pervers que ces prétendues émancipations des mœurs dans notre pays. Le Liban est toujours partant pour expérimenter les trucs les plus louches sous prétexte d’ouverture d’esprit et de modernité. Peut être faut il voir le revers de cette déviance qui consiste à pratiquer la sexualité à outrance pour compenser le deuil et la tristesse de tous les libanais qui voient leur pays mourir à petit feu sans pouvoir agir pour le sauver.
11 h 18, le 11 février 2024