Nasri Sayegh, le faire, le défaire et l’effacement libanais
Comment cerner Nasri Sayegh ? Comment limiter un pluriartiste qui n’arrive pas à se limiter lui-même aux multiples pratiques qu’il met en œuvre, tant pour explorer le monde avant qu’il ne s’efface que pour le fixer pour l’empêcher de s’effacer ? L’animateur de Radio Karantina, par ailleurs photographe et chroniqueur d’une poignée de lieux et monuments qui l’obsèdent, dissèque pour le lecteur son univers compulsif.
Le 1er mars, plusieurs artistes, dont le tandem Joreige-Hadjithomas, étaient réunis autour de Nasri Sayegh pour interroger sa quête et ses multiples pratiques et échanger des points de vue. « Vivre de son art est une antithèse, pour moi comme...
Le 1er mars, plusieurs artistes, dont le tandem Joreige-Hadjithomas, étaient réunis autour de Nasri Sayegh pour interroger sa quête et ses multiples pratiques et échanger des points de vue. « Vivre de son art est une antithèse, pour moi comme...
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