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Nos Lecteurs ont la Parole

Beyrouth, cette ville...

C’est une presqu’île amarrée à une terre rocheuse, abritée par des corps montagneux fiers, émergeant de terres arides, avant de se planter face à la mer.

Sur ses flancs viennent battre les flots, scandant le rappel à l’évasion, au voyage, à l’oubli, se faisant chambre d’échos venus d’autres rives.

Au bout de la Méditerranée, une perle qui ne connaît que deux saisons.

L’une douce et longue, bercée de chaudes caresses maritimes.

L’autre plus courte, ponctuée de ciels agités, de pluies intermittentes, parfois violentes, mais seulement pour nous rappeler le cycle des saisons.

Ville fragile. Peut-être plus femme qu’homme.

Mi-humaine, mi-naturelle. Un être vivant qui s’anime le jour et dort la nuit.

Elle témoigne d’un désir permanent de se régénérer, de se transformer, d’être autre, toujours plus libre.

Partir, revenir, quoi de plus naturel pour qui habite cette ville qui reçoit, adopte, témoigne, émet des signaux à qui veut bien l’écouter.

Beyrouth « cité-phare » autoproclamée de la Méditerranée et du Moyen-Orient.

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique Courrier n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, L’Orient-Le Jour offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires ni injurieux ni racistes.

C’est une presqu’île amarrée à une terre rocheuse, abritée par des corps montagneux fiers, émergeant de terres arides, avant de se planter face à la mer. Sur ses flancs viennent battre les flots, scandant le rappel à l’évasion, au voyage, à l’oubli, se faisant chambre d’échos venus d’autres rives. Au bout de la Méditerranée, une perle qui ne connaît que deux saisons....

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