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Nos Lecteurs ont la Parole

La dimension collective du mal à travers l’histoire sous la forme d’un empire ou d’une dictature

La dimension collective du mal à travers l’histoire sous la forme d’un empire ou d’une dictature

« La puissance de l’Amérique, c’est d’être l’héritière de la culture européenne, mais dans un esprit indépendant de ses ancêtres. » Un enfant agitant le drapeau américain lors des festivités du 4 juillet dernier dans l’état de Virginie. Photo Stefani Reynolds/AFP

S’il faut croire la Bible, l’homme a confronté le mal depuis sa genèse. Mais le réveil de la conscience de se voir approprier la nature du mal a dû attendre l’ère chrétienne pour découvrir ses attributs et apprécier ses risques. Le mal n’a pas vu pour autant son activité s’amenuiser. Ses différentes facettes, depuis l’acte individuel jusqu’à la collaboration d’un clan ou d’une tribu, ont conservé une mesure limitée, bien que parfois déterminante, comme le drame du 11-Septembre. Pendant que Néron et Caligula sont entre autres les personnages monstrueux de l’histoire, Iago, Macbeth en sont les représentations fictives. La littérature, les productions cinématographiques ont montré une prédilection fervente pour les personnages monstrueux. Seulement, à travers l’acheminement de l’histoire, le mal s’est vu prendre une dimension collective, souvent sous la forme d’un empire ou d’une dictature, rendue encore plus obscène quand soutenue par une idéologie, un credo ou une chimère.

Devant la montée des nations, le plus souvent appropriées par des identités antagonistes, dont l’ambition primordiale est l’hégémonie et la prospérité, le fonctionnement politique d’une société dépend de son ascendance culturelle, scientifique et économique. Le jeu des nations en est le résultat tangible et souvent mal compris, résultant en une cascade de malentendus et de conflits. La capacité du mal devient encore plus difficile à mesurer.

L’intervention divine, complice ou manifeste, a joué à travers l’histoire un rôle primordial dans l’avènement de l’humanité. Complice, à travers des offrandes, des sacrifices, des prières, des oracles ou des bénédictions ; manifeste à travers les Dix Fléaux d’Égypte, le Chrisme du pont Milvien, ou les Anges de la bataille de Badr. Ces interventions divines, considérées bénéfiques dans la construction d’un empire, n’ont toujours pas pris une tournure humanitaire, mais au contraire portaient souvent en elles les germes du mal.

On compte dans l’histoire humaine l’éclosion de 25 empires du mal. La notion ainsi adoptée a été popularisée par Ronald Reagan quand il avait considéré l’Union soviétique comme l’empire du mal, fidèle au témoignage d’Alexandre Soljenitsyne. Mais comme ce dernier avait spéculé, « la frontière qui divise le chemin entre le bien et le mal traverse le cœur de chaque homme ». Une autorité intellectuelle et cinématographique aussi importante qu’Oliver Stone avait qualifié son pays, les États-Unis, d’empire du mal, miroitant la pensée islamique considérant l’Occident comme « l’ennemi de Dieu », en général connu sous le pseudonyme de « Iblis » ou Satan, l’ange déchu et son adversaire par excellence, comme si les nations islamiques détenaient le trophée de la vertu ou avaient été absoutes par le Tout-Puissant. Contrairement à la chrétienté où la lutte entre le bien et le mal est intériorisée dans le cœur de l’homme, l’islam ainsi conçu, inspiré par le zoroastrisme, considère cette lutte à un niveau cosmique, entre la force suprême et indépendante du mal et un dieu dont la première ligne de défense repose sur la ténacité des fidèles, dans un duel tracé par le message d’un prophète. L’arrière-fond de cette pensée devient plus explicite quand on réalise que cette lutte cosmique n’est qu’une étape conduisant à la suprématie de l’islam, en préparation de la fin des temps, et l’avènement de l’Apocalypse, ainsi mentionnée dans le Coran. Sans aucun doute, à travers l’histoire, des nations ou des empires avaient agi avec la plus grande brutalité et la plus déshonorante des barbaries, mais de là à confondre l’intérêt suprême d’une nation aux dépens du bien-être d’une autre comme une intervention démoniaque, et refuser d’accepter une résolution, c’est montrer une incompréhension totale du jeu des nations ; c’est se noyer dans la marmite de l’impotence ; c’est sortir de la marche de l’histoire ; une attitude qui se reflète d’une manière réductive sur le détracteur.

Pourtant, historiquement, rien ne prépare à cette haine irrationnelle, sinon l’état de confusion où se débat l’esprit dérouté de la masse arabe, engloutie dans l’ignorance et l’incapacité de se mesurer aux valeurs occidentales et à la réussite intellectuelle ou technologique de leurs sociétés, malgré et peut-être à cause du dithyrambe du Prophète. Cette faillite de pouvoir se calibrer vis-à-vis du reste du monde, et en particulier de l’Occident, est une plaie brûlante souillant la psyché islamique. L’abri du culte religieux ou païen est le dôme protecteur spirituel qui a accompagné l’histoire de l’humanité depuis sa prise de conscience. Cette dichotomie entre la perception de la réalité et l’ambition de la pensée résulte en une émeute interne douloureuse, un déséquilibre émotionnel souvent incontrôlable, qui, devant l’absence d’une autonomie intrinsèque, s’aventure vers des horizons loin des rapports rationnels et humanitaires.

Pourtant nul pays n’a supporté la cause de l’islam autant que les États-Unis, et malgré cela ils restent l’objet de leur plus grande haine. Le blâme de toutes les débâcles arabes repose sur les complots pernicieux du « Grand Satan ». Récemment, au Liban même, la crise économique et financière est interprétée comme une manipulation démoniaque par l’Amérique. Car, pour affaiblir le Hezbollah, elle a ruiné le pays. Or le Hezbollah est toujours debout, alors que le reste du pays s’est effondré. Cette perception défavorable, doublée d’un sentiment anti-américain acquis le long d’une longue période d’instabilité, de frustrations et de conflits, repose sur trois conjonctures qui ont chacune bouleversé l’équilibre émotionnel de la masse arabe, dont l’isolement géographique et patriarcal depuis l’antiquité l’avait maintenue dans un état de pureté originelle, l’équivalent d’un sous-développement social et intellectuel, malgré l’affirmation contraire par les promoteurs de la religion musulmane et les efforts spirituels d’un clergé chrétien dont l’éducation est restée primitive. L’âge de l’ignorance se prolongeait indéfiniment. La foi ne semblait pas être suffisante pour achever une autonomie matérielle et un ascendant spirituel capables de remplir les échancrures durant l’âge de l’Aquarius. Seule l’adhésion stricte à la religion donnait la fausse impression d’une supériorité ontologique.

L’influence de la doctrine salafiste, l’idéologie politico-religieuse qui est le soubassement des organisations jihadistes, propagée par Sayyid Qutb à travers le monde musulman, en a fait un des grands intellectuels du monde islamiste et l’initiateur de l’idéologie dont les répercussions se sont étendues au monde sunnite et chiite. Un changement radical s’était opéré dans les manifestations sociales et vestimentaires, ainsi qu’un retour vers des traditions désuètes, mais considérées nécessaires à l’esprit pratiquant de l’islam. Sayyid Qutb, qui avait passé deux années d’études aux États-Unis, avait rejeté la culture occidentale comme nuisible à la santé spirituelle de l’humanité, et incompatible avec l’islam. L’Amérique fut condamnée comme une civilisation sans culture, d’autant plus qu’elle supportait la création de l’État d’Israël. Devenue l’incarnation du mal, considérée comme une menace pour la pureté de l’islam, tout contact avec cette culture frivole, distante des valeurs spirituelles, pouvait créer un état susceptible de corrompre l’authenticité religieuse. Combien fragile cette religion qui ne pouvait résister à l’assaut de la modernité ?

Non seulement l’incompatibilité culturelle allait empêcher une intégration sociale, mais aussi le concept démocratique n’avait pas encore trouvé dans l’islam levantin et la péninsule Arabique un écho favorable. Les droits de la femme, la laïcité, pour ne citer d’autres, sont les deux piliers sine qua non de la démocratie, loin d’être encore acceptés par la tradition islamique. La tendance despotique de l’islam politique avait favorisé l’alliance avec des régimes totalitaires, depuis le nazisme jusqu’au communisme, en attendant l’élaboration du canevas du Troisième Monde qui, en s’alignant sur des philosophies importées ou des idéologies allogènes, éloignait encore plus un rapprochement avec l’Occident. La filiation des partis politiques créés avait suivi une tendance marxiste ou fasciste, contraire aux idéologies libérales plus propices à la démocratie. Une hostilité sous-jacente, inscrite dans la mémoire collective des peuples, envenimée par une monde bipolaire antagoniste, datant d’un temps immémorial, rendait toute parité difficile à achever.

L’Orientalisme, un mouvement littéraire et artistique, qui s’était développé au XVIIIe siècle, à la suite de l’invasion par Bonaparte de l’Égypte, accusé d’avoir popularisé une description culturelle impérialiste, méprisante et déformée de l’Orient, intellectuellement malhonnête et dégradante, permettant ainsi la monopolisation des richesses découvertes, avait ouvert la porte à la période coloniale, réveillant ainsi la nostalgie de l’âge d’or de l’Andalousie, quand l’Occident avait été soumis, ajoutant à l’animosité le sentiment sécessionniste de la servitude. L’entre-deux-guerres allait voir un démantèlement de l’Empire ottoman par les puissances occidentales, auxquelles venait se joindre la puissance naissante et accablante des États-Unis, la grande gagnante de la Seconde Guerre mondiale.

Parmi les 12 à 15 minorités ethniques de la région, mis à part la communauté maronite, nul ne put acquérir le privilège d’un État indépendant, malgré l’insistance de la plupart des confréries. Cependant, la France avait trouvé un avantage de permettre aux maronites de créer un État mandataire en 1920, appelé le Grand Liban, du fait de la relation spéciale et durable avec cette communauté et son affinité et attachement à la langue française. La naissance controversée et tumultueuse du Grand Liban n’est arrivée à terme qu’à la suite de manipulations diplomatiques entre les grandes puissances en état permanent d’adversité compétitive. Pour la France, le Liban était le portail vers le Moyen-Orient et l’Asie. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la seule autre minorité qui a pu obtenir gain de cause, la minorité juive, supportée par la Grande-Bretagne puis par l’Amérique, allait se heurter contre le refus arabe armé d’une barricade inflexible. Une levée d’armes ouvrant le conflit de 1948 confirmait l’ascendant d’Israël. La haine de l’Amérique prenait une tournure définitive, pourtant c’était un État satellite de l’Union soviétique qui avait fourni les armes nécessaires pour permettre à l’État naissant d’Israël d’éviter la défaite et la mort prématurée. L’exode massif palestinien vers les pays arabes avoisinants, résultant en la honteuse présence de réfugiés entassés dans les camps de la misère humaine pendant des décennies, avait rendu l’hostilité encore plus tenace. La propagande nazie avait dépeint le sionisme comme une idéologie suspecte de complots et de sacrilèges. La défaite nazie était en quelque sorte une défaite arabe, d’autant plus que les expectatives arabes avaient été amplement contrariées.

Durant la crise de Suez, les États-Unis allait intervenir en faveur de l’Égypte pour empêcher sa défaite, mais quelle était leur déception quand ils ont dû assister ensuite à l’ascension vertigineuse et populaire de Nasser et ensuite à ses nuits de noces avec l’Union soviétique. Mais c’est certainement sa défaite en 1967, et l’humiliation subie par l’honneur arabe, un besoin spirituel nécessaire considéré comme un attribut divin, qui avaient engagé la haine dans une envergure théologique. La chute brutale de ce pilier moral engendrait des émotions contradictoires et diminutives, nécessitant une expansion cosmique de la rancune et de la colère. Israël est la force du mal, décidée à conquérir le Moyen-Orient. Plus la défaite est grande, plus l’ennemi accusé d’être responsable a besoin d’avoir une stature transcendante. La haine contre Israël avait ainsi englobé les États-Unis, accusé en outre de supporter des régimes impies et corrompus. Cependant, malgré le support solide et dévoué à la cause sioniste, les États-Unis n’ont jamais dévié vers la délinquance morale. Dans le passé, les conquêtes par les Mongols ou les Ottomans avaient décimé les populations autochtones et les armées, renversé des empires, saccagé des villes, imposé leur domination, sans pour autant laisser dans la mémoire collective les germes de la haine et de l’inimitié.

La mentalité levantine, prise dans l’étau de l’analphabétisme et de la religion, n’arrive pas à discerner entre l’action politique et le complot. Que l’intérêt d’une nation puisse être opposé au sien n’entre pas dans l’équation. L’ennemi est donc très facile à découvrir, et encore plus facile à en faire un. Ayant vécu sous des régimes dictatoriaux, juste sorti de plus de quatre siècles de domination ottomane répressive, confondu par une période coloniale dont la culture allogène ne pouvait s’acclimater à la nonchalance indigène, le caractère local avait trouvé dans la théorie des complots non seulement une raison d’expliquer ses misères, mais aussi une excuse pour son incapacité à sortir de sa torpeur intellectuelle.

L’animosité, pourtant justifiée sur bien de niveaux, légitime sur plusieurs revendications, s’est cependant disséminée à la suite d’une manipulation par des groupes à idéologies religieuses ou séculières, centrée sur leur propre intérêt ou leur avancement dans le pouvoir. Tout esprit de bonne volonté s’était noyé dans des considérations opportunistes, empêchant tout dialogue fructueux. L’anti-américanisme présent dans la société, envenimé par un certain discours intellectuel européen, et surtout français, est en fait le résultat de manœuvres intestines locales, plutôt que d’une action amorale des États-Unis. La puissance de l’Amérique, c’est d’être l’héritière de la culture européenne, mais dans un esprit indépendant de ses ancêtres. Connaître et comprendre l’Amérique, est d’une importance primordiale pour le bienfait de l’humanité. La culture américaine, entraînant derrière elle celle du reste de l’Occident, est au-delà des préoccupations du moment immédiat. Elle dépasse notre entendement quotidien et tente de percer l’horizon. Cet amalgame en a fait le Prométhée des temps modernes.

Devant les initiatives courageuses des Émirats arabes unis et de l’Arabie saoudite, il serait ingrat de ne pas réaliser que l’islam politique est en train de subir une révolution centrifuge, désignée par les autorités, acceptée par le peuple et louée par la communauté internationale. C’est la preuve tangible que la question palestinienne avait cessé d’être un problème militarisé arabe ou religieux, pour devenir un problème humain et politique qui pourrait être résolu à travers des négociations, nonobstant le rapt par l’Iran de sensibilités arabes, utilisées pour ses propres intérêts, sous le camouflage de négociations thermonucléaires, indépendantes d’un comportement prédateur. Seuls les systèmes politiques déficients continuent à blâmer les États-Unis pour les dysfonctionnements et failles des intérêts arabes, pour tout d’abord distraire leur population des problèmes sociaux et de la stagnation économique, et ensuite pour continuer impunément à se servir de cet ennemi de convenance pour rester au pouvoir par la force des baïonnettes. La tragédie des pays de la Résistance, pris dans un tourbillon obsessionnel, déterminés à voir Israël disparaître, continuent à vivre, malgré leurs déboires économiques et militaires, dans un état de fantaisie irrépressible, entraînant leurs populations à croire en une apocalypse triomphale imminente, manœuvrée par une propagande médiatique convaincue de ses bien-fondés.

La notion de l’ennemi déployée dans l’esprit de la culture repose sur des données collectées par la mémoire globale à travers des siècles où l’homme n’avait pas encore atteint l’âge de raison. L’infantilisme politique en est le résultat. De l’inimitié muette, proche de l’aphasie mentale suspecte d’une démyélinisation du cerveau, soit par usure, soit par ramollissement, au passage vers l’adversité constructive tempérée ouvrirait le portail vers des négociations salutaires absolument nécessaires pour le bien-être de la nation. Sous l’égide de l’Amérique, l’opportunité se présente comme une baraka inespérée. Il ne faudrait surtout pas dilapider cette conjoncture.

La plupart avait vu dans le choix d’Amos Hochstein, le négociateur américain qui avait servi dans l’armée israélienne, une nouvelle duperie américaine. Tout d’abord, c’est ignorer la culture israélienne, qui chercherait à ce que tout juif offre une action bénéfique à Israël, considérée comme la patrie du peuple juif. Il faudrait aussi comprendre que M. Hochstein est avant tout un Américain au service de son pays. Sans se leurrer, la politique américaine ne fera rien qui nuirait à Israël, et fera tout en sa faveur, tout en gardant une neutralité relative et pragmatique. La contribution du peuple juif à la culture américaine est massive. Tout effort de blâmer le lobby juif ou un complot sioniste pour un dérapage sécuritaire ou diplomatique relève d’une mésentente entre la raison et l’utopie. Devant les remaniements possibles de l’équilibre régional, pour éviter d’être la victime d’un rouleau compresseur politique, le Liban n’a aucun intérêt à prendre part dans un conflit qu’il ne peut ni soutenir ni tolérer. Forcé de se joindre à l’axe de la Résistance sous la menace des armes et la complicité de politiciens dépravés, il n’a de choix que de reprendre son rôle antérieur, celui d’un messager de paix et de dialogue.

Il faudrait voir dans la personne de M. Hochstein un message portant une offrande de paix « peace offering », un israélien enduit à la sauce américaine. On ne peut mieux demander, car il est temps que le Liban cesse de se débattre et de négocier sur des fondements idéologiques ou religieux, et avance les intérêts géopolitiques et économiques de son paradigme, dans le sillon des autres pays arabes. L’empire du mal est le produit fictif d’une imagination réduite à l’impuissance de la servitude. Mais tant que le cœur de l’homme est traversé par le mal, le « silence de la mer » restera la seule option. Seulement, le Liban est au bout du chemin. Devant les défis du monde, si l’Amérique n’existait pas, il aurait fallu l’inventer. Y a-t-il eu des erreurs ? Bien sûr qu’il y en a. Mais celui qui n’a pas péché lui jette la première pierre.


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

S’il faut croire la Bible, l’homme a confronté le mal depuis sa genèse. Mais le réveil de la conscience de se voir approprier la nature du mal a dû attendre l’ère chrétienne pour découvrir ses attributs et apprécier ses risques. Le mal n’a pas vu pour autant son activité s’amenuiser. Ses différentes facettes, depuis l’acte individuel jusqu’à la collaboration d’un clan...

commentaires (3)

Les intentions de l’empire se révèlent dans les résultats de leurs actions L’histoire se lit sous diverses versions

Salah Mansour

19 h 10, le 20 septembre 2022

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Commentaires (3)

  • Les intentions de l’empire se révèlent dans les résultats de leurs actions L’histoire se lit sous diverses versions

    Salah Mansour

    19 h 10, le 20 septembre 2022

  • Le passage sur l'orientalisme peut prêter à soulever quelques passions, mais c'est également du déjà lu.

    Nabil

    15 h 58, le 06 juillet 2022

  • Je conseille à l'auteur de limiter son prochain texte, comme c'est de rigueur paraît-il, à un "millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris" pour la lisibilité, ou le confort de lecture. Tout cela est intétessant, mais le passage sur Amos Hochstein relève du déjà lu.

    Nabil

    15 h 28, le 06 juillet 2022

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