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Nos Lecteurs ont la Parole

À toi la maman libanaise, bonne fête

À toi la maman libanaise

Que les cœurs attendent que tu les apaises

À toi l’héroïne qui dégouline de patience

Celle qui jongle avec aisance

Entre deux mondes, l’Orient et l’Occident

Quoi qu’il arrive, tu nous fais avancer à pas de géant

Source mémorable d’inspiration

Monstre devant toute déviation

Rien à dire, tu as placé la barre très haut

Tu rigoles continûment devant nos actes idiots

Médusée devant un différend ou une lutte

Tu arbitres royalement une dispute

Toi qui fais semblant d’être au bout du tunnel en pleine obscurité

Tout ce qui vient de toi nous paraît fruité

Pluie ou beau temps, tu as le compas dans l’œil

Quel sourire, quel cœur, quel recueil !

Là où tu vas, tu es un modèle absolu de résilience

Ton esprit surprenant nous meuble l’existence

Tu as de l’espoir démesuré chaque jour à portée de main

Avec toi, on a certainement hâte de se réveiller le lendemain

Ô toi éternelle, notre immuable ballon d’oxygène

Chanceux que nous sommes d’avoir hérité de tes gènes

La confiance règne dans ton admirable château

Glorieux, devant toi je lève mon chapeau !

À toi l’enfant d’une maman libanaise

Grâce à elle, remarquable que tu pèses

Aujourd’hui, ce n’est qu’à sa santé que tu vas boire

À toute la magie qu’elle t’a lue dans les contes et les histoires

En ce jour de fête, profites-en et fais-la danser ce soir dépourvu

Fais-le à ma place, car la mienne, elle n’y est plus.

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

À toi la maman libanaise Que les cœurs attendent que tu les apaisesÀ toi l’héroïne qui dégouline de patienceCelle qui jongle avec aisanceEntre deux mondes, l’Orient et l’OccidentQuoi qu’il arrive, tu nous fais avancer à pas de géantSource mémorable d’inspiration Monstre devant toute déviationRien à dire, tu as placé la barre très haut Tu rigoles continûment devant nos...
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