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Nos Lecteurs ont la Parole

Le château de cartes s’effondre

Notre pays malade s’effondre lentement, inexorablement, sous le regard somnolent des responsables. Ça ressemble fort à du crime organisé. Les spectateurs, l’œil torve, assistent honteusement au massacre sans lever le petit doigt. Les déclarations vaseuses et creuses sont lancées dans ce silence criminel et abject. Nos chers politicards assistent au drame, inefficients et apathiques, se contentant du rôle d’observateurs, ceci quand ils ne se disputent pas entre eux. Ne reste au peuple que le souci de la vie quotidienne agrémenté d’un sentiment d’injustice et de mépris, de honte aussi. L’on nous demande parfois : « Pourquoi vous ne vous révoltez pas ? » La réponse est simple : dans un pays où tous les droits sont bafoués, toutes les injustices perpétrées et la loi piétinée, nous serons massacrés imperturbablement sans autre forme de procès. Nous en avons vu l’exemple, lors d’une manifestation, ils ont tiré sur la foule qui n’avait pour seule arme que des pancartes et des drapeaux libanais ! Triste, dramatique et barbare…

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Notre pays malade s’effondre lentement, inexorablement, sous le regard somnolent des responsables. Ça ressemble fort à du crime organisé. Les spectateurs, l’œil torve, assistent honteusement au massacre sans lever le petit doigt. Les déclarations vaseuses et creuses sont lancées dans ce silence criminel et abject. Nos chers politicards assistent au drame, inefficients et apathiques, se...
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