Avant, nous avions « trop » de chance, la vie était « trop » agréable, le travail et l’économie allaient « trop » bien, la culture était « trop » riche et diversifiée, les opportunités « trop » variées et nombreuses : tout allait « trop » bien.
Nous étions « trop » bons suiveurs silencieux face aux « saqueurs » notoires qui ont presque réussi à détériorer notre cohésion par leurs propos mensongers et leurs invectives négatives, qui nous ont poussés à oublier que c’est notre union qui fait notre force.
À nous promettre chacun à sa façon monts et merveilles, ils ont anesthésié notre espoir et il nous arrive quelquefois de mettre en doute notre croyance, et nos convictions. C’est « trop » de chantages éhontés et évidents dans lesquels nous ne devrions pas tomber.
Ce qu’ils déclarent, les promesses qu’il font et les discours interminables ne doivent pas nous influencer et raviver nos espoirs moribonds. Nos hommes « politiques », chacun à sa façon, nous promettent monts et merveilles et nous n’y croyons plus du tout.
Il est peut-être temps qu’ils cessent de nous prendre pour des naïfs et qu’ils entreprennent quelques actions positives.
Il est honteux d’être aussi inutiles et apathiques face à une situation « trop » dramatique qui met en danger tout un peuple et l’existence d’un pays entier.
Leur « politique » nous laisse glisser petit à petit vers la mort de notre patrie.
Tous ces « clans », tout ces partis, tous ces « leaders vénérés » ne sont plus qu’un arsenal de destruction massive qui suivent une stratégie qui dit : « Diviser pour mieux régner », « Former des fidèles », « Fragmenter le peuple pour l’affaiblir », « Fanatiser leurs adeptes », « Devenir calife à la place du calife ! ».
Qui gagnera à cette sordide machination ? Qui payera les pots cassés ?
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