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Nos Lecteurs ont la Parole

Pourquoi nous sommes devenus passifs...

Les jours se ressemblent et rien ne change ni de près ni de loin. Le triste sort plane sur nos têtes, empreint de mélancolie, d’attente stérile et d’esprit de fatalité.

Pourquoi nous ne faisons rien ? Car lorsque nous l’avions fait, nous avons alors été piétinés, blessés et mis en joue par nos « institutions légales » représentant le peuple justement !

Notre élan de protestation était pacifiste, bon enfant, et leur réaction était démesurée, agressive et sans aucune mesure, agrémentée par des intrusions sauvages d’énergumènes tout de noir vêtus.

Sans respect pour le peuple, sans considération, sans aucune limite, « la protestation » a été traitée avec une violence gratuite et criminelle sombrant dans une violence lâche et injustifiée !

Voilà pourquoi nous ne réagissons presque plus car leur manque de civisme, leur réaction meurtrière et les agissements de « militaires » ressemblaient alors plus à ceux des bandes de voyous qu’à ceux de membres d’une institution légale et respectable.

Et lorsque la morale et le respect civiques sont si ouvertement piétinés et bafoués, alors il ne reste plus qu’un sourd désespoir et une haine bien profonde… et l’attente qu’ils partent, qu’ils n’existent plus !

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Les jours se ressemblent et rien ne change ni de près ni de loin. Le triste sort plane sur nos têtes, empreint de mélancolie, d’attente stérile et d’esprit de fatalité.Pourquoi nous ne faisons rien ? Car lorsque nous l’avions fait, nous avons alors été piétinés, blessés et mis en joue par nos « institutions légales » représentant le peuple justement !
Notre élan...

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